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samedi 17 mai 2025

Le désaccord entre Houria Bouteldja et le philosophe Alain Finkielkraut\ Il disaccordo tra Houria Bouteldja e il filosofo Alain Finkielkraut

 Le désaccord entre Houria Bouteldja et le philosophe Alain Finkielkraut


Les participants à ce débat font partie de la vie culturelle française et sont porteurs de point de vue différent sur le sujet de l'identité française et de la violence dans les stades en France. Le but des participants est de déchiffrer un sujet controversé comme celui de l'identité française tandis que le but du programme " ce soir ou jamais" pourrait être de confirmer le rôle et la capacité des intellectuels en France d'analyser les événements de façon originales et profondes. La clé d'interprétation de l'événement est la nature polémique entre les deux interlocuteurs. Le style communicatif de Houria Bouteldja est de type direct et affirmé tandis que celui du philosophe Finkielkraut apparait comme un style interactionnel de nature distante. La présence du désaccord regarde une substantiel différence entre les interlocuteurs sur la manière d'agentivité l'identité française en partant des faits de violence arrivés durant le match de football PSG et Tel Aviv. La représentante du mouvement "indigène" préfère défendre sa face positive en menaçant la face négative des autres interlocuteurs en énonçant :

Houria Bouteldja: j'ai le sentiment que vous avez une approche moralisante vis-à-vis des violences et du racisme qui peut s'exprimer dans les stades. Pour Houria Bouteldja, il y a des raisons structurelles pour comprendre des attitudes sociales. Et si ces gens qui se refont au Nazi sont produits par une société comme la France, il faut s'interroger sur un certain nationalisme. Le philosophe Alain Finkielkraut répond avec un "non pas cela". Pour Houria Bouteldja, les identités sont hiérarchisées en disant les juifs ne sont pas des Français comme les autres ( phrase de Chirac) et à l'extérieur, il y aurait les musulmans, les métèques, les arabes et les noirs.

La réplique du philosophe " ça n'a aucun sens" représente une forme de désaccord très sévère parce qu'il constitue une grosse menace pour l'identité professionnelle et existentielle de celui qui reçoit l'énoncé. " c'est magnifique" est une forme de retournement de la réalité exprimé de la part du philosophe. " juste un mot" sert pour expliquer son propre point de vue et donc essaye de regagner de la face positive avec une explication. 

Traduzione

Il disaccordo tra Houria Bouteldja e il filosofo Alain Finkielkraut


I partecipanti a questo dibattito appartengono alla vita culturale francese e hanno punti di vista diversi sul tema dell'identità francese e della violenza negli stadi francesi. L'obiettivo dei partecipanti è decifrare un tema controverso come l'identità francese, mentre l'obiettivo del programma "stasera o mai più" potrebbe essere quello di confermare il ruolo e la capacità degli intellettuali in Francia di analizzare gli eventi in modo originale e profondo. La chiave per interpretare l'evento è la natura polemica tra i due interlocutori. Lo stile comunicativo di Houria Bouteldja è diretto e assertivo, mentre quello del filosofo Finkielkraut sembra essere uno stile distante e interazionale. La presenza di disaccordo riguarda una differenza sostanziale tra gli interlocutori sul modo di agire dell'identità francese a partire dai fatti di violenza avvenuti durante la partita di calcio PSG e Tel Aviv. La rappresentante del movimento "indigeno" preferisce difendere il suo volto positivo minacciando quello negativo degli altri interlocutori affermando:

Houria Bouteldja: Ho la sensazione che tu abbia un approccio moralizzatore nei confronti della violenza e del razzismo che possono manifestarsi negli stadi. Per Houria Bouteldja esistono ragioni strutturali per comprendere gli atteggiamenti sociali. E se queste persone che tornano al nazismo sono il prodotto di una società come la Francia, allora dobbiamo mettere in discussione un certo nazionalismo. Il filosofo Alain Finkielkraut risponde con un "no, non quello". Per Houria Bouteldja, le identità vengono gerarchizzate dicendo che gli ebrei non sono francesi come gli altri (frase di Chirac) e che fuori ci sarebbero i musulmani, gli stranieri, gli arabi e i neri.

La risposta del filosofo "non ha senso" rappresenta una forma di disaccordo molto grave, perché rappresenta una grave minaccia all'identità professionale ed esistenziale di chi riceve la dichiarazione. "È magnifico" è una forma di inversione della realtà espressa dal filosofo. "solo una parola" si usa per spiegare il proprio punto di vista e quindi si cerca di riacquistare un aspetto positivo con una spiegazione.

Désaccord sévère entre le juge Portelli et Nicolas Sarkozy \ Forte disaccordo tra il giudice Portelli e Nicolas Sarkozy

 

Désaccord sévère entre le juge Portelli et Nicolas Sarkozy


Dans cet entretien, le présentateur Serge Moatti présente avec importance la personne du juge Portelli de sorte à créer un contexte important en termes de distance sociale. Monsieur Portelli est le vice-président du tribunal d'instance de Paris. Le juge Portelli durant l'interaction avec Sarkozy aura un ton assez ironique et non humble ( presque méprisant) d'un point de vue des principes sociopragmatiques. Le titre est une forme d'indexicalité de la personne mais aussi pour montrer sa capacité d'agentivité sur l'interlocuteur. L'allocutif " juge" est une stratégie qui peut être bénéfice pour affirmer une personne qui va utiliser ses tours de paroles en qualité d'expert du domaine de la justice. De telle sorte, les risques pour la face négative de Sarkozy sont élevé, car lui aussi parle souvent de justice. Sarkozy essaie durant l'interaction d'obtenir des formes de reconnaissance à son besoin de face positive avec des expressions comme " je vous en remercie", en toute humilité, c'est si difficile de dire du bien de moi". Le juge a un style assertif alors que Sarkozy dévoile un style courtois et chaleureux. Le juge devra utiliser l'expression " mais monsieur le ministre, c'est faux" signalant un désaccord qui représente une négation complète de la réalité subjective de l'autre interlocuteur comme si sa réalité était trop loin de ma réalité et donc elle ne mérite pas d'être prise en considération en termes de cout insoutenable pour la défense de la face négative du juge Portelli. Dans le tour de parole " monsieur le ministre vous essayez de faire peur aux français", on retrouve le but non officiel des déclarations de Sarkozy selon le juge Portelli qui est celui de créer un contexte plus favorable pour introduire des nouvelles lois plus restrictives envers les mineurs entre 15 et 18 ans qui accomplissent ou récidive en termes d'actes délinquants. Dans cette séquence conversationnelle, nous pouvons confirmer l'idée d'un ethos communicatif français qui permet la présence de désaccord prolongé et fort qui sont en ligne avec Béal ( 1993) avec le besoin d'exprimer avec force l'urgence de sauver sa propre face pour les couts élevé des affirmations venant de l'autre interlocuteur.




Traduzione


Forte disaccordo tra il giudice Portelli e Nicolas Sarkozy

In questa intervista, il presentatore Serge Moatti presenta il giudice Portelli in modo importante, creando un contesto importante in termini di distanziamento sociale. Il signor Portelli è il vicepresidente del tribunale distrettuale di Parigi. Il giudice Portelli nel dialogo con Sarkozy avrà un tono piuttosto ironico e per nulla umile (quasi sprezzante) dal punto di vista socio-pragmatico. Il titolo è una forma di indicalità della persona ma anche di dimostrazione della sua capacità di agire sull'interlocutore. Il discorso del "giudice" è una strategia che può rivelarsi utile per affermare che la persona che userà il suo discorso è un esperto nel campo della giustizia. In questo modo i rischi per il lato negativo di Sarkozy sono elevati, perché lui parla spesso anche di giustizia. Sarkozy cerca, durante l'interazione, di ottenere forme di riconoscimento per il suo bisogno di positività con espressioni come "La ringrazio per questo", in tutta umiltà, è così difficile dire cose positive su di me. Il giudice ha uno stile assertivo, mentre Sarkozy rivela uno stile cortese e caloroso. Il giudice dovrà usare l'espressione "ma signor Ministro, questo è falso" segnalando un disaccordo che rappresenta una completa negazione della realtà soggettiva dell'altro interlocutore, come se la sua realtà fosse troppo lontana dalla mia e quindi non meritasse di essere presa in considerazione in termini di costi insostenibili per la difesa della faccia negativa del giudice Portelli. Nel turno di discorso "il signor... "Ministro, lei cerca di spaventare i francesi", troviamo l'obiettivo ufficioso delle dichiarazioni di Sarkozy secondo il giudice Portelli, che è quello di creare un contesto più favorevole all'introduzione di nuove leggi più restrittive nei confronti dei minori tra i 15 e i 18 anni che commettono o recidivano atti delinquenziali. In questa sequenza conversazionale, possiamo confermare l'idea di un ethos comunicativo francese che ammette la presenza di disaccordi prolungati e forti, in linea con Béal (1993) e con la necessità di esprimere con forza l'urgenza di salvare la faccia di fronte agli alti costi delle affermazioni provenienti dall'altro interlocutore.


Le désaccord dans le débat entre Ségolène Royal et François Bayrou\ il disaccordo nel dibattito tra Ségolène Royal e François Bayrou

 



Le désaccord dans le débat entre Ségolène Royal et François Bayrou


Dans cette conversation, il est possible d'observer la présence de désaccord et un style communicatif plutôt cordiale-engageant de la part de Royal et de type assertif de la part de François Bayrou. Le style communicatif adopté par Ségolène Royal servira comme instrument pour mitiger en termes de politesse négative ( Brown e Levinson, 1987) les bénéfices obtenus en termes de politesse positive de la part du candidat Bayrou durant le signalement de ses propres désaccords ( Sornig, 1977). En termes de droit et de devoir interactionnel, il faut constater dans le premier désaccord produit par Bayrou un élément d'intensification du désaccord comme nous pouvons lire dans ce fragment :

Bayrou: je suis en désaccord avec l'orientation économique défendu par Ségolène Royal et par le parti socialiste ; en désaccord assez profond, je veux dire assez rapidement pourquoi d'abord"

Dans cette énoncée, le syntagme " l'orientation économique" indique une forme de mitigation ( Caffi, 1999) parce que son désaccord regarde le contenu et pas la personne qui défend son contenu politique. Cette stratégie permet de pouvoir intensifier son désaccord avec la présence de l'adverbe d'intensité comme " assez" et avec l'explicitation du désaccord. Les adverbes peuvent créer une distance des propos et de la vision de la réalité de la part de l'autre interlocuteur. Cette forme de désaccord permet de ne pas renoncer à son droit devoir ( Spencer-Oatey) d'être en désaccord avec la politique du parti socialiste en évitant de payer des couts pour sa face en ne critiquant pas le parti socialiste.

Cette forme de désaccord ne se retrouve pas en italien, où l'on signale le désaccord de manière forte ou en façon délaissé, alors qu'en français, ils sont redoublés comme s'il signale une forme de bénéfice pour la propre face positive. Royal: ce n'est pas la même chose, ce n'est pas la même chose. Il y a un doublement de " non non le service public, c'est pas l'état". Donc, le désaccord est produit avec le regard de devoir défendre sa propre identité professionnelle. Le " downgrading" est très présent en français à propos des mots de l'interlocuteur en menaçant le besoin de face positive, car on met en doute les compétences de son interlocuteur. Très répandu dans le corpus français la présence de l'adverbe de négation ( non) comme marqueur de négation souvent répéter deux ou trois fois comme s'il était un indicateur du droit de protéger sa propre politesse négative de sorte à ne pas payer un cout trop élevé pour sa propre face en termes de politesse positive. Le désaccord entre Bayrou et Royal se concentre sur la notion d'état et donc le désaccord est essentiel pour défendre sa propre identité professionnelle en protégeant sa face négative et en n'offrant aucun bénéfice à la face positive du candidat Bayrou.






Traduzione


il disaccordo nel dibattito tra Ségolène Royal e François Bayrou

In questa conversazione è possibile osservare la presenza di disaccordo e uno stile comunicativo piuttosto cordiale e coinvolgente da parte di Royal e un tipo assertivo da parte di François Bayrou. Lo stile comunicativo adottato da Ségolène Royal servirà come strumento per attenuare in termini di cortesia negativa (Brown e Levinson, 1987) i benefici ottenuti in termini di cortesia positiva dal candidato Bayrou nel momento in cui ha reso noti i propri disaccordi (Sornig, 1977). In termini di diritti e doveri interazionali, dobbiamo notare nel primo disaccordo prodotto da Bayrou un elemento di intensificazione del disaccordo come possiamo leggere in questo frammento:
Bayrou: Non sono d'accordo con la direzione economica difesa da Ségolène Royal e dal Partito Socialista; sono profondamente in disaccordo, vorrei spiegare subito perché"
In questa affermazione, l'espressione "orientamento economico" indica una forma di attenuazione (Caffi, 1999) perché il dissenso riguarda il contenuto e non chi ne difende il contenuto politico. Questa strategia consente di intensificare il proprio disaccordo con la presenza di un avverbio di intensità come "abbastanza" e con la spiegazione del disaccordo. Gli avverbi possono creare una distanza tra le parole dell'altro parlante e la sua visione della realtà. Questa forma di disaccordo consente di non rinunciare al proprio diritto o dovere (Spencer-Oatey) di dissentire dalla politica del Partito Socialista, evitando al contempo di pagare il prezzo della propria vita non criticando il Partito Socialista.

Questa forma di disaccordo non si riscontra in italiano, dove il disaccordo viene segnalato in maniera forte o trascurata, mentre in francese viene raddoppiata come se segnalasse una forma di beneficio per la parte positiva stessa. Royal: Non è la stessa cosa, non è la stessa cosa. Si assiste a un raddoppio del concetto di "no, no, il servizio pubblico non è lo Stato". Il disaccordo si produce quindi nell'ottica di dover difendere la propria identità professionale. "Declassare" è un termine molto presente in francese che riguarda le parole dell'interlocutore, minacciando la necessità di un atteggiamento positivo, perché dubitiamo della competenza del nostro interlocutore. Molto diffusa nel corpus francese è la presenza dell'avverbio di negazione (non) come marcatore di negazione, spesso ripetuto due o tre volte come se fosse un indicatore del diritto a proteggere la propria cortesia negativa per non pagare un prezzo troppo alto alla propria immagine in termini di cortesia positiva. Il disaccordo tra Bayrou e Royal si concentra sulla nozione di Stato e pertanto il disaccordo è essenziale per difendere la propria identità professionale, proteggendo il proprio lato negativo e non offrendo alcun beneficio al lato positivo del candidato Bayrou.









PRIMO PONTEFICE AMERICANO \ PREMIER PONTIFE AMÉRICAIN

 

vendredi 9 mai 2025

La sociopragmatique dans les travaux de Spencer-Oatey\ La sociopragmatica nell'opera di Spencer-Oatey

 

La sociopragmatique dans les travaux de Spencer-Oatey


Pour Spencer-Oatey, les maximes conversationnelles de Grice doivent etre dépassé avec l'introduction des principes sociopragmatiques interactionels. En particulier, l'interet se tourne vers le concept de " culture" pour expliquer les phénomènes typique de la pragmatique cross-culturelle. Avant Spencer-Oatey, le modèle de Leech a été utilisé pour expliquer les différences culturelles avec l'aide du principe de politesse présent dans les maximes de Leech. Les maximes de conversation de Paul Grice sont aux nombres de 4:

la maxime de qualité ( dis ce que tu crois être vrai); la maxime de relevance ( dit ce que tu dois dire au juste moment et de façon relevante); la maxime de quantité ( ne dit pas plus ou moins de ce qui est demandé). La maxime de manière ( soif bref et clair). Les maximes ne sont pas toujours respectée, mais leurs non-respect impliquent la présence d'implicature présente à l'intérieur de la réponse. Pour Leech ( 1983), la communication humaine est soutenu par un principe de politesse composé par six maximes de politesse associé avec le principe de coopération. Pour Leech ( 1983) et Gu ( 1990), les maximes de politesse ont un poids différent dans les différentes sociétés et pour cette raison, elles peuvent expliquer certaines différences culturelles à l'intérieur de la pragmatique contrastive. La sociopragmatique de Spencer-Oatey ( 2001, 2003) représente un principe pour guider une perspective socioculturelle à l'intérieur de l'interprétation du langage. Les principes sont reliés à des valeurs et ils doivent aider dans la gestion du rapport avec les personnes et dans la compréhension du sens de " face" offert aux personnes en termes de droit et devoir interactionnel en ligne avec les normes et les préférences. Les principes de Spencer-Oatey dénommé SIP ( sociopragmatic interactional principes) peuvent etre intégré avec les trois perspectives de la politesse identifiée depuis Fraser sur la politesse linguistique ( 1990) dans laquelle sont mis en lumière la perspective des maximes conversationnelles, celle de sauver la face et celle du contrat conversationnel.

Les contraintes conversationnelles dans la sociopragmatique.


Dans le travail de Kim sont proposés cinq constrictions conversationel en relation avec l'acte de la requête : les contraintes présentées dans cette liste sont les suivants :


Les contraintes conversationnelles dans la sociopragmatique selon Kim sont cinque:

- éviter de blesser les sentiments de l'interlocuteur ( élaboration du concept de " face positive" de l'écouteur exprimé par Brown et Levinson, 1987).

- éviter l'imposition de l'interlocuteur ( élaboration du concept de " face négative" exprimé par Brown e Levinson)

évaluer l'évaluation négative de l'écouteur

- Être claire ( maxime de manière de Grice, 1989),

- Être concret ( rejoindre le but/exécution du devoir). En partant des données de Kim, on voit apparaitre trois facteurs importants, l'importance de la gestion de la face, l'importance du devoir et l'importance de la clarté. Même entre britannique et chinois, l'importance du devoir et de la gestion de la face est essentiel. Selon Spencer-Oatey, pour les britanniques, un élément important est celui du droit, c'est-à-dire que l'importance pour la face de l'interlocuteur dépend du fait de penser qu'il a le droit de demander une certaine chose ou une faveur par exemple. Pour Spencer-Oatey ( 2000, 2001), elle affirme que le droit dans la socialité sont un facteur important pour souligner la gestion de la relation et que cette notion de droit devrait avoir plus de place dans les études contrastives. Un domaine de recherche pour Spencer-Oatey pourrait être les façons utilisées pour les parlants pour trouver un accord sur leur droit dans une certaine situation et en quelle mesure elles peuvent être influencé par la culture. Pour Spencer-Oatey, dans la relation entre les personnes, les éléments comme la distance et le pouvoir seront exprimés pragmalinguistiquement, avec le choix des ressources linguistiques, tandis que dans d'autre contexte, c'est plutôt la sociopragmatique qui pourrait être appelée à notre secours, car c'est le signifié social accordé aux situations et aux contextes qui influence nos choix linguistiques. Pour Spencer-Oatey, il n'y a pas seulement la distance sociale, le pouvoir relatif et le degré d'imposition, mais il y a aussi des principes socioculturels qui nous aident à gérer les motivations basiques durant l'interaction : l'importance accordée à la face, les droits et devoir en termes de couts et bénéfices.

Les principes SIP ( sociopragmatical interactional principe ) chez Spencer-Oatey peuvent être indiqué comme les suivants : un style personnel, l'être direct/indirect, humble\assertif, chaleureux\engageant\ froid\distant, clair\vague, routinier\administratif, innovant. Ce sont des styles qui reflètent l'adhésion à une certaine communauté de parlants. Le lien entre sociopragmatique et le monde sociale est réalisé avec deux catégories selon Searle ( 1995): le monde extérieur objectif et le monde sociale avec sa propre vision interne du monde. Pour Searle ( 1995), le monde objectif est déterminé par des vérités factuels, le monde sociale est déterminé par la totalité des relations interpersonnels, légitime, tandis que le monde subjectif est déterminé par les domaines expressif et émotif. Chaque acte communicatif doit être ancrés au moins à un de ces mondes et toujours au monde objectif.


traduzione

La sociopragmatica nell'opera di Spencer-Oatey

Per Spencer-Oatey, le massime conversazionali di Grice devono essere superate con l'introduzione di principi sociopragmatici interazionali. In particolare, l'interesse si sposta sul concetto di "cultura" per spiegare fenomeni tipici della pragmatica interculturale. Prima di Spencer-Oatey, il modello di Leech veniva utilizzato per spiegare le differenze culturali con l'ausilio del principio di cortesia presente nelle massime di Leech. Le massime di conversazione di Paul Grice sono 4:
la massima della qualità (dì ciò che ritieni vero); la massima della pertinenza (dì ciò che devi dire al momento giusto e nel modo pertinente); la massima della quantità (non dice più o meno di ciò che è richiesto). La massima del modo (sete breve e chiara). Le massime non sempre vengono rispettate, ma il loro mancato rispetto implica la presenza di implicature all'interno della risposta. Per Leech (1983), la comunicazione umana è supportata da un principio di cortesia composto da sei massime di cortesia associate al principio di cooperazione. Per Leech (1983) e Gu (1990), le massime di cortesia hanno un peso diverso nelle diverse società e per questo motivo possono spiegare alcune differenze culturali all'interno della pragmatica contrastiva. La sociopragmatica di Spencer-Oatey (2001, 2003) rappresenta un principio per guidare una prospettiva socioculturale all'interno dell'interpretazione del linguaggio. I principi sono legati ai valori e dovrebbero aiutare nella gestione delle relazioni con le persone e nella comprensione del significato del "volto" offerto alle persone in termini di diritti e doveri interazionali in linea con le norme e le preferenze. I principi di Spencer-Oatey denominati SIP (principi interazionali sociopragmatici) possono essere integrati con le tre prospettive della cortesia individuate a partire da Fraser sulla cortesia linguistica (1990) in cui vengono evidenziate la prospettiva delle massime conversazionali, quella del salvare la faccia e quella del contratto conversazionale.
Vincoli conversazionali nella sociopragmatica.

Nel lavoro di Kim vengono proposte cinque costrizioni conversazionali in relazione all'atto della richiesta: le costrizioni presentate in questo elenco sono le seguenti:


I vincoli conversazionali nella sociopragmatica secondo Kim sono cinque:
- evitare di ferire i sentimenti dell'interlocutore (elaborazione del concetto di "volto positivo" dell'ascoltatore espresso da Brown e Levinson, 1987).
- evitare di imporre l'interlocutore (sviluppo del concetto di "volto negativo" espresso da Brown e Levinson)
– valutare la valutazione negativa dell’ascoltatore
- Sii chiaro (massima di maniera di Grice, 1989),
- Essere concreti (raggiungere l'obiettivo/eseguire il dovere). Sulla base dei dati di Kim emergono tre fattori importanti: l'importanza della gestione del volto, l'importanza del dovere e l'importanza della chiarezza. Anche tra inglesi e cinesi l'importanza della gestione del dovere e della faccia è essenziale. Secondo Spencer-Oatey, per gli inglesi un elemento importante è quello del diritto, cioè l'importanza che ha per la persona dell'interlocutore il fatto di pensare che egli abbia il diritto di chiedere una certa cosa o un favore ad esempio. Spencer-Oatey (2000, 2001) sostiene che il diritto nella socialità è un fattore importante per evidenziare la gestione della relazione e che questa nozione di diritto dovrebbe avere più spazio negli studi contrastivi. Un ambito di ricerca di Spencer-Oatey potrebbe riguardare le modalità con cui i parlanti giungono a un accordo sui propri diritti in una determinata situazione e la misura in cui questi possono essere influenzati dalla cultura. Per Spencer-Oatey, nella relazione tra le persone, elementi come la distanza e il potere saranno espressi pragmalinguisticamente, con la scelta delle risorse linguistiche, mentre in altri contesti è piuttosto la sociopragmatica che potrebbe essere chiamata in nostro aiuto, perché è il significato sociale attribuito alle situazioni e ai contesti che influenza le nostre scelte linguistiche. Per Spencer-Oatey non contano solo la distanza sociale, il potere relativo e il grado di imposizione, ma anche i principi socioculturali che ci aiutano a gestire le motivazioni di base durante l'interazione: l'importanza data al volto, ai diritti e ai doveri in termini di costi e benefici.

I principi SIP (principio di interazione sociopragmatica) in Spencer-Oatey possono essere indicati come segue: uno stile personale, diretto/indiretto, umile/assertivo, caldo/coinvolgente/freddo/distante, chiaro/vago, di routine/amministrativo, innovativo. Si tratta di stili che riflettono l'appartenenza a una determinata comunità di parlanti. Il legame tra sociopragmatica e mondo sociale viene stabilito secondo Searle (1995) attraverso due categorie: il mondo esterno oggettivo e il mondo sociale con la sua visione interna del mondo. Per Searle (1995), il mondo oggettivo è determinato da verità fattuali, il mondo sociale è determinato dalla totalità delle relazioni interpersonali legittime, mentre il mondo soggettivo è determinato dai domini espressivo ed emotivo. Ogni atto comunicativo deve essere ancorato almeno a uno di questi mondi e sempre al mondo oggettivo.






vendredi 2 mai 2025

Analyse pragmatique Sègolène Royal et le journaliste David Pujadas.

 

Entretien entre Sègolène Royal et le journaliste David Pujadas.


Scène physique et scène culturel de l'entretien.


L'interview télévisé s'est tenue le 11 juin 2007 à l'intérieur du téléjournal de 20 heures sur France 2 pendant la période de campagne électoral des présidentielles 2007. La scène physique de cet entretien ( Duranti, 2007) est composé par un studio télévisé avec des lumières, microphones, caméras. Ces objets sont disposés de sorte à créer un espace de confrontation entre le journaliste et l'invitée. Dans cette espace, il est possible de créer une distance sociale pour donner plus de crédibilité à l'entretien. L'organisation de l'espace est un élément important pour comprendre un événement linguistique. Dans ce scénario, le journaliste est celui qui dirige l'événement. D'un point de vue culturel, avoir un entretien à l'intérieur du journal de 20 heures rend ce moment très important, car il a la possibilité de s'inscrire dans la mémoire collective du pays avec cet horaire favorable pour les auditeurs. À l'intérieur de cet interview, le but non déclaré de Ségolène Royal sera de démontrer aux membres de son parti qu'elle est capable de défendre tous les candidats socialistes durant cette élection. Dans plusieurs occasions, le parlant se trouve à parler pour défendre la face collective des membres de sa propre communauté ( le parti socialiste dans ce cas) car sa propre personne est relié à celle de son propre in-group d'appartenance. Dans cet entretien, le reportage qui précède l'interview est déjà un élément de langage qui peut servir pour renforcer la face de l'invité ou bien pour l'attaquer dès le début. Dans ce cas, le devoir de Ségolène Royal est celui de rétablir un équilibre. Durant l'entretien, il y a des couts et des bénéfices qui peuvent apparaitre avec la production d'un long désaccord comme forme de devoir et capacité de défense all'intérieur d'un événement linguistique ( Hymnes, 1972). Nommé le parti socialiste ou l'opposition est une forme pour souligner un style affirmé en termes de principe sociopragmatique en face d'une attaque subit durant tout le reportage. Dans ce corpus, il est intéressant de voir comme la réaction du journaliste soit perçu de la part de Ségolène Royal comme inutile et donc privé des conditions de félicité d'Austin ou Searle comme élément clefs pour la production d'acte de langage. Cette réponse de Madame Royal rend explicite le but concret de cet entretien qui ne réside pas dans l'interaction avec le journaliste, mais avec le public à la maison, lequel devient l'unique juge de cet échange verbale pour démontrer sa habileté de représenter comme porte-parole du parti socialiste français. La présence d'acte indirecte est une forme pour souligner la réponse vers un interlocuteur qui n'est pas présent comme dans le cas de Sarkozy ou Fillon. Ce style indirect en termes de principes sociopragmatique ( Spencer-Oatey, 2001) sera présent quand il s'agira d'un coup d'appel entre Madame Royal et le président du Modem Bayrou.

Durant l'interview, le journaliste a la tendance à poser des questions de nature privé mettant en deuxième place le contenu politique des réponses comme si l'information importante serait de connaitre les rapports privés entre Madame Royal et Bayrou. Reproposer la même question est une façon d'éviter de payer des coups trop élevée pour sa propre face positive quand l'invité ne répond pas à nos questions. Pour défendre sa propre face négative, on peut ne pas répondre aux questions de nature privé. Très intéressant dans cet entretien l'usage de l'adverbe " d'abord" avec le but de remettre de l'ordre dans les affaires raconté durant le reportage. Un long désaccord signale souvent la non-acceptation de la représentation de la réalité ( Searle, 1995). Le journaliste répond "c'est la réalité" comme une présentation de la réalité de forme dogmatique, d'agencement de la réalité ou tout simplement comme endroit où la force du langage se rend explicite. En outre, le désaccord entre les deux interlocuteurs ne doit pas trouver une solution entre eux, mais c'est le citoyen comme face collective qui doit décider si les faits sont bien présentés durant cet interview. Dans cet entretien, le désaccord a le rôle de défense de la face négative de la personne, en démontrant l'inutilité et l'incapacité de ses opposants de formuler des attaques menaçants envers l'invitée Ségolène Royal. La formulation de ces questions de la part du journaliste peuvent représenter un cout majeur pour sa face positive.


Traduzione


Intervista tra Sègolène Royal e il giornalista David Pujadas.
Scenario fisico e scenario culturale dell'intervista.

L'intervista televisiva ha avuto luogo l'11 giugno 2007, alle ore 20.00. notizie su France 2 durante la campagna elettorale per le elezioni presidenziali del 2007. L'ambientazione fisica di questa intervista (Duranti, 2007) è uno studio televisivo con luci, microfoni e telecamere. Questi oggetti sono disposti in modo tale da creare uno spazio di confronto tra il giornalista e l'ospite. In questo spazio è possibile creare una distanza sociale per dare maggiore credibilità all'intervista. L'organizzazione dello spazio è un elemento importante per comprendere un evento linguistico. In questo scenario, è il giornalista a dirigere l'evento. Dal punto di vista culturale, realizzare un'intervista durante il telegiornale delle 20:00 rende questo momento molto importante, poiché ha la possibilità di restare impresso nella memoria collettiva del Paese, in un orario così favorevole per gli ascoltatori. In questa intervista, l'obiettivo non dichiarato di Ségolène Royal sarà quello di dimostrare ai membri del suo partito di essere in grado di difendere tutti i candidati socialisti durante queste elezioni. In molte occasioni, l'oratore si ritrova a parlare per difendere il volto collettivo dei membri della propria comunità (in questo caso il partito socialista) perché la sua persona è legata a quella del proprio gruppo di appartenenza. In questa intervista, il resoconto che precede l'intervista stessa è già un elemento linguistico che può essere utilizzato per rafforzare l'immagine dell'ospite o per attaccarlo fin dall'inizio. In questo caso, il compito di Ségolène Royal è quello di ristabilire l'equilibrio. Nel corso dell'intervista possono presentarsi costi e benefici che possono derivare dalla produzione di un lungo disaccordo come forma di dovere e capacità di difesa all'interno di un evento linguistico (Inni, 1972). Chiamare partito socialista o opposizione è un modo per sottolineare uno stile affermato in termini di principio socio-pragmatico di fronte a un attacco subito nel corso del rapporto. In questo corpus è interessante vedere come la reazione del giornalista venga percepita da Ségolène Royal come inutile e quindi privata delle condizioni di felicità di Austin o Searle come elementi chiave per la produzione di atti linguistici. Questa risposta di Madame Royal rende esplicito lo scopo concreto di questa intervista, che non risiede nell'interazione con il giornalista, ma con il pubblico a casa, che diventa l'unico giudice di questo scambio verbale per dimostrare la sua capacità di rappresentarsi come portavoce del Partito socialista francese. La presenza dell'atto indiretto è una forma per sottolineare la risposta a un interlocutore non presente, come nel caso di Sarkozy o Fillon. Questo stile indiretto in termini di principi sociopragmatici (Spencer-Oatey, 2001) sarà presente quando si tratterà di una telefonata tra Madame Royal e il presidente del Modem Bayrou. Durante l'intervista, il giornalista tende a porre domande di natura privata, anteponendo il contenuto politico delle risposte, come se l'informazione importante fosse conoscere i rapporti privati ​​tra Madame Royal e Bayrou. Porre nuovamente la stessa domanda è un modo per evitare di pagare troppo per la propria impressione positiva quando il cliente non risponde alle nostre domande. Per difendere la propria immagine negativa, non si può rispondere a domande di natura privata. Molto interessante in questa intervista è l'uso dell'avverbio "first" con lo scopo di mettere le cose in ordine come descritto durante il rapporto. Un lungo disaccordo spesso segnala la non accettazione della rappresentazione della realtà (Searle, 1995). Il giornalista risponde: "è la realtà", intesa come presentazione della realtà in forma dogmatica, come sistemazione della realtà o semplicemente come luogo in cui la forza del linguaggio diventa esplicita. Inoltre, il disaccordo tra i due interlocutori non dovrebbe essere risolto tra loro, ma è il cittadino, in quanto soggetto collettivo, che deve decidere se i fatti sono stati ben presentati durante questo colloquio. In questa intervista, il disaccordo svolge il ruolo di difesa del lato negativo della persona, dimostrando l'inutilità e l'incapacità dei suoi avversari di formulare attacchi minacciosi contro l'ospite Ségolène Royal. La formulazione di queste domande da parte del giornalista può rappresentare un costo elevato per la sua immagine positiva.





jeudi 1 mai 2025

Acte de langage et politesse linguistique \ atto linguistico e cortesia linguistica in pragmatica linguistica

 

Acte de langage et politesse linguistique


Dans la conversation, les locuteurs peuvent se constituer en individu et construire interactivement leur identité sociale. Comme signale Goffman ( 1988: 148) " la parole est socialement organisée car elle est une rencontre sociale. Dans cette rencontre sociale, les interactants doivent respecter un "contrat communicatif " tacite reposant sur le principe de coopération. Pour Goffman, le principe de coopération comme forme de communion mutuel est l'étincelle qui illumine le monde. La conversation est une forme d'union mystique, une transe socialisée. La rencontre entre deux individus ( ou plusieurs) est délicate, car elle est met en contact deux "face sacrée" que les locuteurs doivent préserver durant cette épreuve psychique et sociale qu'est la conversation, en tant que lieu d'affirmation et de transformation du moi, d'autrui et de la relation interpersonnelle : la face est une image du moi délinée selon certains attributs sociaux approuvés. Ainsi, tout épisode conversationnel susceptible de menacer la face des interactants nécessite d'une " réparation" destiné à remédier et à rétablir une harmonie relationnelle. La face est un objet sacré, et il s'ensuit que l'ordre expressif nécessaire à se préserver est un ordre rituel. Dans la rencontre interindividuelle, il existe deux moments importants comme l'ouverture et la clôture de la conversation, qui sont accompagnées de petite cérémonies verbales, en apparence " vides" mais très significatives en termes de rituel: Goffman ( 1973) distinguent entre l'échange confirmatif et l'échange réparateur) est en train de montrer l'impact considérable des rituels socioculturels sur le langage et la conversation ordinaire. Pour Goffman, il faut comprendre le sens de ces " bonjours" et " excusez-moi" chaque fois qu'une personne se frotte à l'autre. Les rituels de conversation doivent maintenir la cohésion intragroupale car le rite as du sens, il ordonne le désordre. L'essence du rituel est de mêler temps individuel et temps collectif. Cette réflexion goffmanienne se retrouve dans le modèle de la politesse linguistique de Brown e Levinson. Ce modèle provoque une rencontre entre acte de langage et face, qui se retrouvent fusionnés dans la notion de " fta" face threatening act.





Traduzione

Atto linguistico e cortesia linguistica

Nella conversazione, i parlanti possono costituirsi come individui e costruire interattivamente la propria identità sociale. Come sottolinea Goffman (1988: 148), "il discorso è socialmente organizzato perché è un incontro sociale. In questo incontro sociale, gli interlocutori devono rispettare un tacito "contratto comunicativo" basato sul principio di cooperazione. Per Goffman, il principio di cooperazione come forma di comunione reciproca è la scintilla che illumina il mondo. La conversazione è una forma di unione mistica, una trance socializzata. L'incontro tra due individui (o più) è delicato, perché mette in contatto due "volti sacri" che i parlanti devono preservare durante questa prova psichica e sociale che è la conversazione, come luogo di affermazione e trasformazione di sé, degli altri e della relazione interpersonale: il volto è un'immagine del sé delineata secondo determinati attributi sociali approvati. Pertanto, qualsiasi episodio conversazionale che possa minacciare il volto degli interlocutori richiede una "riparazione" volta a rimediare e ristabilire l'armonia relazionale. Il volto è un oggetto sacro, e ne consegue che l'ordine espressivo necessario per preservarlo è un ordine rituale. Nell'incontro interpersonale vi sono due momenti importanti quali l'apertura e la chiusura della conversazione, che sono accompagnati da piccole cerimonie verbali, apparentemente "vuote" ma molto significative dal punto di vista rituale: Goffman (1973) distingue tra scambio confermativo e scambio riparativo) e mostra il notevole impatto dei rituali socioculturali sul linguaggio e sulla conversazione ordinaria. Per Goffman è fondamentale comprendere il significato di questi "ciao" e "scusa" ogni volta che ci si incontra. I rituali di conversazione devono mantenere la coesione intragruppo perché il rito ha un significato e ordina il disordine. L'essenza del rituale è mescolare il tempo individuale e quello collettivo. Questa riflessione goffmaniana si ritrova nel modello di cortesia linguistica di Brown e Levinson. Questo modello determina un incontro tra l'atto linguistico e il volto, che vengono fusi nel concetto di atto di minaccia al volto "fta".


Afin de compléter ce modèle de politesse qu'elle trouve trop pessimiste en terme interactionnelle, Kebrat-Orecchioni ( 1992, 1996) introduit la notion de FFA ( face flattering act) dans le but de désigner les actes de langage qui visent à valoriser les faces des interactants comme forme de petits cadeaux verbaux échangées entre les locuteurs. Le modèle d'intégration entre les actes de langage et la face permet de révéler "le système des faces" dans la construction des relations interpersonnelles. Les actes de langage peuvent être considérés ici comme des "relationéme". Leur formulation a des effets positifs ou négatifs entre les parlants avec la possibilité de réduire ou élargir la distance sociale ( axe horizontal) ou d'instaurer un rapport hiérarchique ou égalitaire ( axe vertical). Les actes de langage reflètent le style interactionnel des locuteurs et chaque communauté de parlants possède une conception de la politesse qui lui est propre et qui a comme objectifs de résoudre les problèmes communicatifs rencontrés dans les interactions quotidiennes. La politesse sert pour réduire le conflit et l'angoisse, car elle réduit l'agonie présente dans les problèmes communicatifs. La pragmatique contrastive ou comparative a comme objectif d'élaborer une théorie contrastive des conversations selon Kebrat-Orecchioni ( 1994: 7). Cette théorie se fonde sur le principe que les règles linguistiques comme les règles pragmatico-conversationnelles ne sont pas universelles, mais varient culturellement. La variabilité des normes communicatives peut-etre observé à l'intérieur de la même société en fonction des différentes " sous-cultures" ou externe affectant les systèmes interactionnels des différentes sociétés ( variation ethnolectales). Pour comprendre une société, il faut analyser les mécanismes communicatifs dans lesquels surgissent les paramètres de sexe, ethnicité, classe sociale.


Traduzione

Per completare questo modello di cortesia, che ritiene troppo pessimistico in termini interazionali, Kebrat-Orecchioni (1992, 1996) introduce la nozione di FFA (face flattering act) con lo scopo di designare gli atti linguistici che mirano a valorizzare i volti degli interlocutori come una forma di piccoli regali verbali scambiati tra parlanti. Il modello di integrazione tra atti linguistici e volto permette di svelare “il sistema dei volti” nella costruzione delle relazioni interpersonali. Gli atti linguistici possono essere considerati qui come "relazionali". La loro formulazione ha effetti positivi o negativi tra i parlanti, con la possibilità di ridurre o ampliare la distanza sociale (asse orizzontale) o di stabilire una relazione gerarchica o egualitaria (asse verticale). Gli atti linguistici riflettono lo stile interattivo dei parlanti e ogni comunità di parlanti ha la propria concezione di cortesia, il cui scopo è risolvere i problemi comunicativi riscontrati nelle interazioni quotidiane. La cortesia aiuta a ridurre i conflitti e l'ansia perché attenua l'angoscia provocata dai problemi di comunicazione. La pragmatica contrastiva o comparativa mira a sviluppare una teoria contrastiva delle conversazioni secondo Kebrat-Orecchioni (1994: 7). Questa teoria si basa sul principio che le regole linguistiche, come quelle pragmatiche e conversazionali, non sono universali, ma variano a seconda della cultura. La variabilità delle norme comunicative può essere osservata all'interno della stessa società a seconda delle diverse "sottoculture" o influenzando esternamente i sistemi interazionali di diverse società (variazione etnolettale). Per comprendere una società, dobbiamo analizzare i meccanismi comunicativi in ​​cui emergono i parametri di sesso, etnia e classe sociale.


Cette pragmatique contrastive cherche la logique culturelle ( Gumperz, 1982) qui motive les comportements communicatifs des locuteurs. Les actes de langage sont des objets privilégiés pour comprendre la pragmatique contrastive. L'approche interculturelle des actes de langage se retrouve dans une pragmatique illocutoire qui renonce à l'illusion universaliste en partant du principe de variabilité culturelle des comportements communicatifs afin de révéler un " éthos" ou style communicatifs des locuteurs, susceptibles de troubler les rencontres interculturelles. Kebrat-Orecchioni ( 1994:63) définit l'éthos comme la manière de se présenter et de se comporter dans l'interaction de façon chaleureuse ou froide, proche ou distante, modeste ou immodeste, sans gêne ou respectueuse de l'autre, susceptible ou indifférente à l'offense en ligne avec les systèmes de valeurs en vigueur dans la communauté en question. Dans cette approche, il y a un débat entre ceux qui prônent l'existence d'universaux dans la réalisation des actes de langage et ceux qui défendent l'existence de variations culturelles affectant le fonctionnement des actes de langage. Aujourd'hui, il semble très difficile de trancher sur la part universelle et la part culturelle spécifique des comportements langagiers. Il faut donc chercher un juste milieu entre le culturel et l'universel. Pour Goffman, il existe une certaine universalité des comportements humains à l'intérieur de la société, car celle-ci construit des individus en lui apprenant à être attentif, s'attacher à son moi, sa fierté, son honneur, dignité, avoir de la considération, du tact et de l'assurance. Voici pour Goffman les comportements élémentaires à partir desquels on parle de nature humaine universelle. Malgré la position de Goffman, l'observation des actes de langage dans les différentes communautés discursives laisse paraitre de nombreuses variations culturelles qui se situent à tous les niveaux de leur réalisation. La variation regarde l'existence même des actes dans les diverses langues, le paradigme de l'acte paraît ne pas correspondre, le même référent illocutoire n'est pas attesté. Chaque langue propose une organisation différente de la réalité souvent les mêmes fonctions communicatives peuvent être réalisé à l'aide de moyens pragmatiques différents dans chaque langue, lorsque la variation tient à une différence de conceptualisation, de catégorisation, c'est-à-dire de découpage de la réalité. Il est en est des actes de langage, car leur découpage conceptuel ne sont pas isomorphes ( Kebrat-Orecchioni 2000: 77). Lorsqu'il existe une correspondance référentielle en apparence parfaite, la variation se place au niveau de la réalisation des actes de langage, qui peuvent emprunter des moyens de formulation spécifiques à chaque langue, obéir à des conditions contextuelles d'emploi différentes concernant la situation, le destinataire, l'emplacement interactionnel et déclencher des réactions culturellement déterminées. La variation peut toucher la valeur socio-relationnelle et la signification culturelle des actes de langage, autrement dit qu'un comportement peut être interprété différemment ainsi comme ses valeurs. D'un point de vue comparatif, la notion d'ethos devient très intéressante à l'intérieur d'un paradigme de la communication interculturelle.


Traduzione

Questa pragmatica contrastiva ricerca la logica culturale (Gumperz, 1982) che motiva i comportamenti comunicativi dei parlanti. Gli atti linguistici sono oggetti privilegiati per comprendere la pragmatica contrastiva. L'approccio interculturale agli atti linguistici si ritrova in una pragmatica illocutoria che rinuncia all'illusione universalista partendo dal principio della variabilità culturale dei comportamenti comunicativi per rivelare un "ethos" o stile comunicativo dei parlanti, che può disturbare gli incontri interculturali. Kebrat-Orecchioni (1994:63) definisce l'ethos come il modo di presentarsi e di comportarsi nell'interazione in modo caloroso o freddo, vicino o distante, modesto o immodesto, senza imbarazzo o rispettoso dell'altro, suscettibile o indifferente all'offesa, in linea con i sistemi di valori vigenti nella comunità in questione. In questo approccio, si apre un dibattito tra coloro che sostengono l'esistenza di universali nella realizzazione degli atti linguistici e coloro che difendono l'esistenza di variazioni culturali che influenzano il funzionamento degli atti linguistici. Oggigiorno sembra molto difficile distinguere tra la parte universale del comportamento linguistico e quella culturalmente specifica. Dobbiamo quindi cercare una via di mezzo tra il culturale e l'universale. Per Goffman, esiste una certa universalità del comportamento umano all'interno della società, perché la società forma gli individui insegnando loro ad essere attenti, ad attaccarsi a se stessi, al proprio orgoglio, al proprio onore, alla propria dignità, ad avere considerazione, tatto e sicurezza. Per Goffman, questi sono i comportamenti fondamentali a partire dai quali possiamo parlare di natura umana universale. Nonostante la posizione di Goffman, l'osservazione degli atti linguistici in diverse comunità discorsive rivela numerose varianti culturali che si collocano a tutti i livelli della loro realizzazione. La variazione riguarda l'esistenza stessa degli atti nelle varie lingue, il paradigma dell'atto non sembra corrispondere, non è attestato lo stesso referente illocutorio. Ogni lingua offre una diversa organizzazione della realtà; Spesso le stesse funzioni comunicative possono essere raggiunte utilizzando mezzi pragmatici diversi in ogni lingua, quando la variazione è dovuta a una differenza nella concettualizzazione, nella categorizzazione, cioè nella suddivisione della realtà. Si tratta di atti linguistici, perché le loro divisioni concettuali non sono isomorfe (Kebrat-Orecchioni 2000: 77). Quando c'è una corrispondenza referenziale apparentemente perfetta, la variazione avviene a livello della realizzazione degli atti linguistici, che possono mutuare modalità di formulazione proprie di ogni lingua, obbedire a diverse condizioni contestuali d'uso relative alla situazione, al destinatario, al luogo dell'interazione e scatenare reazioni determinate culturalmente. La variazione può influenzare il valore socio-relazionale e il significato culturale degli atti linguistici, il che significa che un comportamento può essere interpretato in modo diverso, così come i suoi valori. Da un punto di vista comparativo, la nozione di ethos diventa molto interessante all'interno di un paradigma di comunicazione interculturale.



Les difficultés de l'analyse pragmatique contrastive


Ces difficultés concernent la notion même d'acte de langage, car il n'est pas aisé d'attribuer une valeur pragmatique exacte à un énoncé donné. Par exemple, on peut réaliser un acte de langage avec un énoncé différent, mais aussi que la signification illocutoire d'un énoncé donné est souvent plurielle, et que les différents actes se trouvent plutôt dans un rapport de continuité pragmatique. Même la valeur relationnelle peut être problématique car mêmes des FFA ( face flathering act) peuvent être perçu comme menaçant. Tout cela devient encore plus compliqué avec une approche comparative. Cette approche met en lumière comme les comportements communicatifs varient culturellement étant donné que chaque société organise à sa manière les interactions communicatives de ses membres. Un acte de langage peut ne pas répondre aux mêmes conditions contextuelles d'emploi à l'intérieur de deux communautés distinctives. Il possède ainsi une signification socio-relationnelle spécifique à chaque culture.


L'étude contrastive des actes de langage nous renseigne sur les valeurs culturelles qui motivent les actions verbales et les priorités conversationnelles des locuteurs. Les actes de langage peuvent rendre accessible le style communicatif ou " ethos" en termes de normes et des représentations socio-culturelles d'une communauté discursive donnée. Les différences culturelles se retrouvent dans la notion de face et de politesse, de l'individu et des relations interpersonnelles, du bonheur, du temps, du monde matériel, social ou encore psychique. Derrière les actes de langage, il est possible de trouver les valeurs d'une société donnée. On peut espérer qu'à travers l'étude d'un acte de langage, cela puisse permettre d'accéder à une meilleure connaissance entre les pays concernés en se découvrant mutuellement. Par exemple, l'étude des vœux, des salutations, des remerciements, de la création de projets, des invitations, des offres) pourrait permettre d'approfondir la question de l'expression de la politesse positive. Aussi, l'étude des FTA comme la question, la requête, le refus et d'autres procédés de politesse négative pourrait compléter cette réflexion pour mieux creuser les notions de face et de territoire en nous renseignant sur la conception de l'individu et des relations interpersonnelles auprès des différentes cultures. L'ethos conversationnel et le contexte culturel méritent certainement plus d'attention dans l'analyse des différentes interactions ( commerciales, professionnelle, familles, relation in-group\out-group). L'analyse des interactions est un terrain propice pour comprendre les différences, mais surtout un espace de rencontre de l'identité et altérité. Ce travail pourrait donner une meilleure et inestimable compréhension de soi-même et d'autrui.


Origine de la notion de " éthos"

Cette notion d'éthos se retrouve dans la rhétorique d'Aristote, à l'intérieur de la triade " logos\ethos\pathos". En effet, l'éthos représente les qualités morales que l'orateur affiche dans son discours. Il s'agit de montrer un comportement de nature pondéré, honnête ou bienveillant. En pragmatique contrastive, le mot " ethos" est utilisé par Brown et Levinson ( 1978:248) mais en rhétorique, l'éthos s'applique à des individus alors qu'en pragmatique, l'éthos s'utilise pour parler des collectifs d'individus. Cette différence ne doit pas être perçue comme radicale même si le déplacement de la notion de l'individuel à des implications et problèmes. Le premier problème est celui du découpage de ces speech communities ( ensemble d'individus qui partage la même langue mais aussi les mêmes normes communicatives ( way of speaking). Un autre problème est celui d'identifier le niveau où elle se localise. Pour résoudre le problème, on peut identifier des mots-clefs, termes d'adresse, formule rituelles, acte de langage, comportement proxémiques. Il y a aussi le problème de l'interprétation des faits retenus. La frontière se brouille entre les phénomènes de nature pragmalinguistique vs sociopragmatique. Kebrat-Orecchioni considère comme sociopragmatique tous les " ratés" dont la source n'est pas purement linguistique, mais renvoie à quelque corrélat culturel : en revanche, dire sous l'influence de l'anglais " j'apprécie pour merci" " sorry sir what time is it?" c'est se rendre coupable d'un raté" purement pragmalinguistique. " Que Dieu vous garde" c'est du sociopragmatique si la formule conserve un caractère religieux. En deuxième temps, on regroupera des marqueurs de signification afin de reconstituer le profil communicatif ( ou style conversationnel). Un groupe pourrait avoir une cohérence profonde.


Traduzione


Lo studio contrastivo degli atti linguistici ci informa sui valori culturali che motivano le azioni verbali dei parlanti e le priorità conversazionali. Gli atti linguistici possono rendere accessibile lo stile comunicativo o "ethos" in termini di norme e rappresentazioni socioculturali di una determinata comunità discorsiva. Le differenze culturali si riscontrano nella nozione di volto e di cortesia, nelle relazioni individuali e interpersonali, nella felicità, nel tempo, nel mondo materiale, sociale e perfino psicologico. Dietro gli atti linguistici è possibile rinvenire i valori di una data società. Possiamo sperare che attraverso lo studio di un atto linguistico, ciò possa consentire l'accesso a una migliore conoscenza tra i paesi interessati, scoprendoli reciprocamente. Ad esempio, lo studio degli auguri, dei saluti, dei ringraziamenti, della creazione di progetti, degli inviti, delle offerte potrebbe consentire di esplorare più a fondo la questione dell'espressione della cortesia positiva. Inoltre, lo studio di FTA come la domanda, la richiesta, il rifiuto e altre procedure di cortesia negativa potrebbe completare questa riflessione per esplorare meglio le nozioni di volto e territorio, informandoci sulla concezione dell'individuo e delle relazioni interpersonali nelle diverse culture. L'ethos conversazionale e il contesto culturale meritano sicuramente maggiore attenzione nell'analisi delle diverse interazioni (commerciali, professionali, familiari, relazioni all'interno/esterno del gruppo). L’analisi delle interazioni è un terreno fertile per la comprensione delle differenze, ma soprattutto uno spazio per l’incontro tra identità e alterità. Questo lavoro potrebbe fornire una migliore e preziosa comprensione di sé stessi e degli altri.

Origine della nozione di "ethos"
Questa nozione di ethos si ritrova nella retorica di Aristotele, all'interno della triade "logos\ethos\pathos". L'ethos, infatti, rappresenta le qualità morali che l'oratore mostra nel suo discorso. Si tratta di mostrare un comportamento che sia di natura equilibrata, onesta e premurosa. Nella pragmatica contrastiva, il termine "ethos" è utilizzato da Brown e Levinson (1978:248), ma nella retorica, ethos si applica agli individui, mentre nella pragmatica, ethos è utilizzato per parlare di collettività di individui. Questa differenza non deve essere vista come radicale, anche se lo spostamento della nozione di individuo comporta implicazioni e problemi. Il primo problema è quello della divisione di queste comunità linguistiche (insieme di individui che condividono la stessa lingua ma anche le stesse norme comunicative (modo di parlare). Un altro problema è quello di identificare il livello in cui si colloca. Per risolvere il problema, possiamo identificare parole chiave, termini di indirizzo, formule rituali, atti linguistici, comportamenti prossemici. C'è anche il problema dell'interpretazione dei fatti conservati. Il confine tra fenomeni di natura pragmalinguistica e sociopragmatica è labile. Kebrat-Orecchioni considera come sociopragmatici tutti i "fallimenti" la cui fonte non è puramente linguistica, ma rimanda a qualche correlato culturale: d'altra parte, dire sotto l'influenza dell'inglese "I appreciate for thank you" "sorry sir what time is it?" è colpevole di un "fallimento" puramente pragmalinguistico. "May God keep you" è sociopragmatico se la formula conserva un carattere religioso. In secondo luogo, raggrupperemo i marcatori di significato per ricostruire il profilo comunicativo (o stile conversazionale). Un gruppo potrebbe avere una profonda coesione.




Pour caractériser une société comme " hiérarchique" on regroupera les différents taxéme: usage dissymétrique des salutations, distribution inégales des tours de parole, fonctionnement des termes d'adresse et honorifiques, acte de langages adoucis à sens unique et obligation de politesse non réciproques. Au contraire, pour caractériser une société comme relevant d'un style communicatif " proche" on observera la proxémique, l'usage des formes d'adresse familière, accès à leur territoire privé, spatial ( invitation) ou informationnel ( confidence et autre forme de la parole intime). Avec le concept d'éthos communicatif, nous pouvons essayer de dégager des tendances générales. Selon Irvine, les formes linguistiques peuvent être mise en corrélation avec une idéologie linguistique et non d'un point de vue socio-économique. Cette idéologie réalise une médiation entre forme de parler et les conditions d'une vie sociale dans une forme complexe.

Les honorifiques sont des formules figées, mais il y a des formes indirectes comme la formulation de la politesse à la française avec des expressions indirectes, des requêtes, le passé ou le conditionnel de la politesse, les procédés de minimisation. Ces éléments peuvent effectivement aider à une hypothèse " faible" mais non contestable de la relation entre langue et culture. Donc, sous le système linguistique, l'éthos s'éloigne certainement de la linguistique pure ( comme si on se salissait les mains en plongeant dans ce terreau culturel dans lequel les langues s'enracinent. La langue est le produit direct d'une société et d'une culture. Selon Bourdieu, le langage est un ensemble de disposition qui implique le choix d'un terme spécifique, d'un registre ou d'un genre particulier. Tous ces choix sont le résultat d'une culture donné à une communauté de parlants.


Les vœux dans la théorie classique des actes de langage.


L'acte illocutoire comme unité d'analyse nous indique qu'il y a cinq manières générales d'employer la langue :


traduction


Per caratterizzare una società come "gerarchica" raggrupperemo i diversi taxemi: l'uso asimmetrico dei saluti, la distribuzione ineguale dei turni di parola, il funzionamento dei termini di indirizzo e degli onorifici, gli atti linguistici unidirezionali e attenuati e gli obblighi di cortesia non reciproci. Al contrario, per caratterizzare una società come avente uno stile comunicativo "chiuso", osserveremo la prossemica, l'uso di forme di interlocuzione familiari, l'accesso al proprio territorio privato, spaziale (invito) o informativo (fiducia e altre forme di linguaggio intimo). Con il concetto di ethos comunicativo possiamo provare a individuare delle tendenze generali. Secondo Irvine, le forme linguistiche possono essere correlate a un'ideologia linguistica e non a un punto di vista socio-economico. Questa ideologia realizza una mediazione tra la forma del parlare e le condizioni della vita sociale in forma complessa.
Gli onorifici sono formule fisse, ma esistono forme indirette come la formulazione della cortesia in francese con espressioni indirette, richieste, il passato o il condizionale della cortesia e procedure di minimizzazione. Questi elementi possono effettivamente contribuire a stabilire un'ipotesi "debole" ma indiscutibile sul rapporto tra lingua e cultura. Quindi, nel sistema linguistico, l'ethos si allontana certamente dalla linguistica pura (come se ci sporcassimo le mani tuffandoci in questo terreno culturale in cui le lingue sono radicate). La lingua è il prodotto diretto di una società e di una cultura. Secondo Bourdieu, la lingua è un insieme di disposizioni che implicano la scelta di un termine specifico, di un registro o di un genere particolare. Tutte queste scelte sono il risultato di una cultura data a una comunità di parlanti.

I desideri nella teoria classica degli atti linguistici.

L'atto illocutorio come unità di analisi ci dice che ci sono cinque modi generali di usare il linguaggio:


Pour caractériser une société comme " hiérarchique" on regroupera les différents taxéme: usage dissymétrique des salutations, distribution inégales des tours de parole, fonctionnement des termes d'adresse et honorifiques, acte de langages adoucis à sens unique et obligation de politesse non réciproques. Au contraire, pour caractériser une société comme relevant d'un style communicatif " proche" on observera la proxémique, l'usage des formes d'adresse familière, accès à leur territoire privé, spatial ( invitation) ou informationnel ( confidence et autre forme de la parole intime). Avec le concept d'éthos communicatif, nous pouvons essayer de dégager des tendances générales. Selon Irvine, les formes linguistiques peuvent être mise en corrélation avec une idéologie linguistique et non d'un point de vue socio-économique. Cette idéologie réalise une médiation entre forme de parler et les conditions d'une vie sociale dans une forme complexe.

Les honorifiques sont des formules figées, mais il y a des formes indirectes comme la formulation de la politesse à la française avec des expressions indirectes, des requêtes, le passé ou le conditionnel de la politesse, les procédés de minimisation. Ces éléments peuvent effectivement aider à une hypothèse " faible" mais non contestable de la relation entre langue et culture. Donc, sous le système linguistique, l'éthos s'éloigne certainement de la linguistique pure ( comme si on se salissait les mains en plongeant dans ce terreau culturel dans lequel les langues s'enracinent. La langue est le produit direct d'une société et d'une culture. Selon Bourdieu, le langage est un ensemble de disposition qui implique le choix d'un terme spécifique, d'un registre ou d'un genre particulier. Tous ces choix sont le résultat d'une culture donné à une communauté de parlants.


Les vœux dans la théorie classique des actes de langage.


L'acte illocutoire comme unité d'analyse nous indique qu'il y a cinq manières générales d'employer la langue : nous disons à autrui comment sont les choses ( assertifs), nous essayons de faire faire des choses à autrui ( directifs), nous nous engageons à faire des choses ( promissifs), nous exprimons nos sentiments et nos attitudes ( expressifs) et nous provoquons des changements dans le monde par nos énonciations ( déclarations). Austin ( 1970) catégorise le voeu dans la classe des actes comportatifs car il constitue un comportement sociale. Les comportatifs incluent l'idée d'une réaction à la conduite et au sort d'autrui. On relève un rapport entre ces verbes et l'expression de nos sentiments. Pour Searle ( 1982: 54) on parle de catégorie expressifs. Le but illocutoire est d'exprimer l'état psychologique spécifié dans la condition de sincérité, vis-à-vis d'un état de choses spécifiées dans le contenu propositionnel, les paradigmes de verbes expressif sont " remercier, féliciter, s'excuser, présenter ses condoléances, déplorer et souhaiter la bienvenue. La réalisation du voeu dépend de certaines conditions de réussite, c'est-à-dire à un ensemble de "normes" implicites qui sont indispensables pour son fonctionnement illocutoire et a fortiori pour son aboutissement perlocutaire.


Traduzione


Per caratterizzare una società come "gerarchica" raggrupperemo i diversi taxemi: l'uso asimmetrico dei saluti, la distribuzione ineguale dei turni di parola, il funzionamento dei termini di indirizzo e degli onorifici, gli atti linguistici unidirezionali e attenuati e gli obblighi di cortesia non reciproci. Al contrario, per caratterizzare una società come avente uno stile comunicativo "chiuso", osserveremo la prossemica, l'uso di forme di interlocuzione familiari, l'accesso al proprio territorio privato, spaziale (invito) o informativo (fiducia e altre forme di linguaggio intimo). Con il concetto di ethos comunicativo possiamo provare a individuare delle tendenze generali. Secondo Irvine, le forme linguistiche possono essere correlate a un'ideologia linguistica e non a un punto di vista socio-economico. Questa ideologia realizza una mediazione tra la forma del parlare e le condizioni della vita sociale in forma complessa.
Gli onorifici sono formule fisse, ma esistono forme indirette come la formulazione della cortesia in francese con espressioni indirette, richieste, il passato o il condizionale della cortesia e procedure di minimizzazione. Questi elementi possono effettivamente contribuire a stabilire un'ipotesi "debole" ma indiscutibile sul rapporto tra lingua e cultura. Quindi, nel sistema linguistico, l'ethos si allontana certamente dalla linguistica pura (come se ci sporcassimo le mani tuffandoci in questo terreno culturale in cui le lingue sono radicate). La lingua è il prodotto diretto di una società e di una cultura. Secondo Bourdieu, la lingua è un insieme di disposizioni che implicano la scelta di un termine specifico, di un registro o di un genere particolare. Tutte queste scelte sono il risultato di una cultura data a una comunità di parlanti.

I desideri nella teoria classica degli atti linguistici.

L'atto illocutorio come unità di analisi ci dice che ci sono cinque modi generali in cui usiamo il linguaggio: diciamo agli altri come stanno le cose (assertivi), cerchiamo di convincere gli altri a fare qualcosa (direttive), ci impegniamo a fare qualcosa (promissivi), esprimiamo i nostri sentimenti e atteggiamenti (espressivi) e apportiamo cambiamenti nel mondo attraverso le nostre espressioni (dichiarazioni). Austin (1970) classifica il desiderio nella classe degli atti comportamentali perché costituisce un comportamento sociale. I comportamenti includono l'idea di una reazione alla condotta e al destino degli altri. Esiste una connessione tra questi verbi e l'espressione dei nostri sentimenti. Per Searle (1982: 54) si parla di categorie espressive. Lo scopo illocutorio è esprimere lo stato psicologico specificato nella condizione di sincerità, rispetto a uno stato di cose specificato nel contenuto proposizionale; i paradigmi dei verbi espressivi sono "ringraziare", "congratularsi", "chiedere scusa", "condoglianze", "lamentare" e "accogliere". La realizzazione del desiderio dipende da determinate condizioni di successo, ovvero da un insieme di "norme" implicite, indispensabili per il suo funzionamento illocutorio e, a fortiori, per il suo esito perlocutorio.