Analyse sociopragmatique du désaccord entre le ministre Renato Brunetta et la journaliste Daria Bignardi.
L'interview entre le ministre Brunetta et la journaliste Daria Bignardi se déroule à l'intérieur du programme tv " era glaciale" sur Rai 2 du 24 avril 2009 durant la deuxième soirée avec le but non déclaré ( Hymnes, 1979) de faire apparaitre le visage humain des personnages politique italien. Le positionnement en deuxième soirée offre de façon implicite plus de liberté de parole parce que le public devrait être composé d'adultes. L'usage de l'espace pour cet entretien est essentiel pour caractériser un événement linguistique ( Bateson, 1972, Hall, 1959) est composé par une distance réduite entre l'invité et la journaliste de sorte à rechercher une certaine proximité émotive entre les interlocuteurs. Du point de vue sociopragmatique, nous pouvons observer une grosse différence de style conversationnel entre le ministre Brunetta et Bignardi: le ministre Brunetta adhère à un style de type direct et assertif, tandis que la journaliste Bignardi semble en adhésion à un style cordial et gentille avec une centaine déférence pour son invité ( Jiang, 2003). Cette différence de style conversationnel de nature sociopragmatique est fondamentale pour comprendre le sens profond du désaccord prolongé ( Rees-Miller, 2000) à l'intérieur de l'entretien parce que les deux interlocuteurs ont une vision différente de l'être pour et avec une autre personne ( Duranti, 2007) à l'intérieur d'une relation interpersonnelle. En effet, le ministre Brunetta semble à son aise durant l'entretien malgré les nombreux désaccord, tandis que la journaliste Bignardi affirme d'être mal à l'aise durant cet entretien.
Analyse sociopragmatique du désaccord entre le ministre Renato Brunetta et la journaliste Daria Bignardi.
L'interview entre le ministre Brunetta et la journaliste Daria Bignardi se déroule à l'intérieur du programme tv " era glaciale" sur Rai 2 du 24 avril 2009 durant la deuxième soirée avec le but non déclaré ( Hymnes, 1979) de faire apparaître le visage humain des personnages politique italien. Le positionnement en deuxième soirée offre de façon implicite plus de liberté de parole parce que le public devrait être composé d'adultes. L'usage de l'espace pour cet entretien est essentiel pour caractériser un événement linguistique ( Bateson, 1972, Hall, 1959) est composé par une distance réduite entre l'invité et la journaliste de sorte à rechercher une certaine proximité émotive entre les interlocuteurs. Du point de vue sociopragmatique, nous pouvons observer une grosse différence de style conversationnel entre le ministre Brunetta et Bignardi: le ministre Brunetta adhère à un style de type direct et assertif, tandis que la journaliste Bignardi semble en adhésion à un style cordial et gentille avec une centaine déférence pour son invité ( Jiang, 2003). Cette différence de style conversationnel de nature sociopragmatique est fondamentale pour comprendre le sens profond du désaccord prolongé ( Rees-Miller, 2000) à l'intérieur de l'entretien parce que les deux interlocuteurs ont une vision différente de l'être pour et avec une autre personne ( Duranti, 2007) à l'intérieur d'une relation interpersonnelle. En effet, le ministre Brunetta parais à son aise durant l'entretien malgré les nombreux désaccord, tandis que la journaliste Bignardi affirme d'être mal à l'aise durant cet entretien. Dans le style interactionnel de Brunetta, on peut observer en ligne avec Schiffrin ( 1984) et Kakava ( 2002) une notion de désaccord comme un élément de socialité présent à l'intérieur de la communauté juif et New York, mais aussi des parlants grecs. En outre, cette divergence d'agencement de la personne ( Duranti, 2007) parait être reconduite à une notion de personne fondée sur la considération ( Scollon, 2003) chez la journaliste Bignardi, tandis que le ministre Brunetta parais en adhésion ad une notion de la personne fondé sur la franchise ( Béal, 1993). Dans cet entretien, les désaccords sévères sont exprimé comme un droit de défense de la face positive et dans le même temps il signale un degré d'imposition indice du pouvoir relatif présent entre un ministre et un journaliste. À l'intérieur d'un entretien televisé, les bénéfices pour l'identité de la journaliste peuvent etre supérieur en s'excusant pour sa non connaissance de forte à pouvoir reprendre le cours de l'entretien. Cela implique une perte de " face momentanée" comme on retrouve plus souvent dans l'éthos communicatif français. Même dans cet entretien, la production d'un désaccord fort est le fruit de la défense de sa propre identité professionnelle durant un événement linguistique comme l'entretien. Très intéressant durant cet entretien est le tentatif de changement de registre linguistique de la part de la journaliste pour faire comprendre la vrai nature de cet entretien, c'est à dire un entretien cordiale et non conflictuel comme il semble pour l'instant. En utilisant, les termes de Duranti ( 1992), on peut affirmer que les objectifs de cet événement linguistique sont en disharmonie car la journaliste a un style communicatif de cordialité et considération pour son interlocuteur, tandis que le ministre Brunetta exprime un style plus " direct" et assertif" privé d'attention pour la politesse négative de son interlocutrice vu que son besoin d'exprime sa propre notion de " personne" ( Duranti, 2007) passez en premier ordre sans tenir compte de la face positive de l'interlocutrice.
Traduzione
Analisi socio-pragmatica del disaccordo tra il
Ministro Renato Brunetta e la giornalista Daria
Bignardi.
L'intervista tra il Ministro Brunetta e la
giornalista Daria Bignardi si è svolta durante la seconda serata del
programma televisivo "Era Glaciale" su Rai 2 il 24 aprile
2009, con l'obiettivo implicito (Inni, 1979) di rivelare il volto
umano dei personaggi politici italiani. La collocazione in seconda
serata consente implicitamente una maggiore libertà di parola,
poiché ci si aspetta che il pubblico sia composto da adulti. L'uso
dello spazio per questa intervista, essenziale per caratterizzare un
evento linguistico (Bateson, 1972; Hall, 1959), è caratterizzato da
una distanza ridotta tra l'ospite e la giornalista, al fine di
ricercare una certa vicinanza emotiva tra i relatori. Da un punto di
vista sociopragmatico, possiamo osservare una grande differenza nello
stile conversazionale tra il Ministro Brunetta e Bignardi: il
Ministro Brunetta aderisce a uno stile diretto e assertivo, mentre la
giornalista Bignardi sembra aderire a uno stile cordiale e gentile,
con cento deferenza verso il suo ospite (Jiang, 2003). Questa
differenza nello stile conversazionale di natura sociopragmatica è
fondamentale per comprendere il significato profondo del prolungato
disaccordo (Rees-Miller, 2000) all'interno dell'intervista, poiché i
due interlocutori hanno una visione diversa dell'essere per e con
un'altra persona (Duranti, 2007) all'interno di una relazione
interpersonale. Infatti, il Ministro Brunetta sembra a suo agio
durante l'intervista nonostante i numerosi disaccordi, mentre la
giornalista Bignardi afferma di sentirsi a disagio durante questa
intervista.
Analisi socio-pragmatica del disaccordo tra il Ministro Renato
Brunetta e la giornalista Daria Bignardi.
L'intervista tra
il Ministro Brunetta e la giornalista Daria Bignardi si è svolta
durante la seconda serata del programma televisivo "Era
Glaciale" su Rai 2 il 24 aprile 2009, con l'obiettivo implicito
(Inni, 1979) di rivelare il volto umano dei personaggi politici
italiani. La collocazione in seconda serata consente implicitamente
una maggiore libertà di parola, poiché ci si aspetta che il
pubblico sia composto da adulti. L'uso dello spazio per questa
intervista, essenziale per caratterizzare un evento linguistico
(Bateson, 1972; Hall, 1959), è caratterizzato da una distanza
ridotta tra l'ospite e la giornalista, al fine di ricercare una certa
vicinanza emotiva tra i relatori. Da un punto di vista
sociopragmatico, possiamo osservare una grande differenza nello stile
conversazionale tra il Ministro Brunetta e Bignardi: il Ministro
Brunetta aderisce a uno stile diretto e assertivo, mentre la
giornalista Bignardi sembra aderire a uno stile cordiale e gentile,
con cento deferenza verso il suo ospite (Jiang, 2003). Questa
differenza nello stile conversazionale di natura sociopragmatica è
fondamentale per comprendere il significato profondo del prolungato
disaccordo (Rees-Miller, 2000) all'interno dell'intervista, poiché i
due interlocutori hanno una visione diversa dell'essere per e con
un'altra persona (Duranti, 2007) all'interno di una relazione
interpersonale. Infatti, il Ministro Brunetta sembra a suo agio
durante l'intervista nonostante i numerosi disaccordi, mentre la
giornalista Bignardi afferma di sentirsi a disagio durante questa
intervista. Nello stile interazionale di Brunetta, possiamo
osservare, in linea con Schiffrin (1984) e Kakava (2002), una nozione
di disaccordo come elemento di socialità presente all'interno della
comunità ebraica e di New York, ma anche tra i grecofoni. Inoltre,
questa divergenza nell'impostazione della persona (Duranti, 2007)
sembra ricondurre a una nozione di persona basata sulla
considerazione (Scollon, 2003) nel caso del giornalista Bignardi,
mentre il ministro Brunetta sembra aderire a una nozione di persona
basata sulla franchezza (Béal, 1993). In quest'intervista, i forti
disaccordi vengono espressi come un diritto a difendere la propria
immagine positiva e, allo stesso tempo, segnalano un certo grado di
imposizione, indice del potere relativo presente tra un ministro e un
giornalista. In un'intervista televisiva, i benefici per l'identità
del giornalista possono essere maggiori rispetto al scusarsi per la
sua mancanza di conoscenza del forte per poter riprendere il corso
dell'intervista. Ciò implica una perdita di "immagine
momentanea", come si riscontra più spesso nell'ethos
comunicativo francese. Anche in quest'intervista, la produzione di un
forte disaccordo è il risultato della difesa della propria identità
professionale durante un evento linguistico come l'intervista. Molto
interessante, in questa intervista, è il tentativo della giornalista
di cambiare registro linguistico per far comprendere la vera natura
dell'intervista, ovvero un'intervista cordiale e non conflittuale,
come appare al momento. Usando i termini di Duranti (1992), possiamo
affermare che gli obiettivi di questo evento linguistico sono in
disarmonia perché la giornalista ha uno stile comunicativo di
cordialità e considerazione per il suo interlocutore, mentre la
Ministra Brunetta esprime uno stile più "diretto" e
assertivo, privo di attenzione alla cortesia negativa del suo
interlocutore, poiché la sua necessità di esprimere la propria
nozione di "persona" (Duranti, 2007) viene prima, senza
tener conto del lato positivo dell'interlocutore.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire