La sociopragmatique dans les travaux de Spencer-Oatey
Pour Spencer-Oatey, les maximes conversationnelles de Grice doivent etre dépassé avec l'introduction des principes sociopragmatiques interactionels. En particulier, l'interet se tourne vers le concept de " culture" pour expliquer les phénomènes typique de la pragmatique cross-culturelle. Avant Spencer-Oatey, le modèle de Leech a été utilisé pour expliquer les différences culturelles avec l'aide du principe de politesse présent dans les maximes de Leech. Les maximes de conversation de Paul Grice sont aux nombres de 4:
la maxime de qualité ( dis ce que tu crois être vrai); la maxime de relevance ( dit ce que tu dois dire au juste moment et de façon relevante); la maxime de quantité ( ne dit pas plus ou moins de ce qui est demandé). La maxime de manière ( soif bref et clair). Les maximes ne sont pas toujours respectée, mais leurs non-respect impliquent la présence d'implicature présente à l'intérieur de la réponse. Pour Leech ( 1983), la communication humaine est soutenu par un principe de politesse composé par six maximes de politesse associé avec le principe de coopération. Pour Leech ( 1983) et Gu ( 1990), les maximes de politesse ont un poids différent dans les différentes sociétés et pour cette raison, elles peuvent expliquer certaines différences culturelles à l'intérieur de la pragmatique contrastive. La sociopragmatique de Spencer-Oatey ( 2001, 2003) représente un principe pour guider une perspective socioculturelle à l'intérieur de l'interprétation du langage. Les principes sont reliés à des valeurs et ils doivent aider dans la gestion du rapport avec les personnes et dans la compréhension du sens de " face" offert aux personnes en termes de droit et devoir interactionnel en ligne avec les normes et les préférences. Les principes de Spencer-Oatey dénommé SIP ( sociopragmatic interactional principes) peuvent etre intégré avec les trois perspectives de la politesse identifiée depuis Fraser sur la politesse linguistique ( 1990) dans laquelle sont mis en lumière la perspective des maximes conversationnelles, celle de sauver la face et celle du contrat conversationnel.
Les contraintes conversationnelles dans la sociopragmatique.
Dans le travail de Kim sont proposés cinq constrictions conversationel en relation avec l'acte de la requête : les contraintes présentées dans cette liste sont les suivants :
Les contraintes conversationnelles dans la sociopragmatique selon Kim sont cinque:
- éviter de blesser les sentiments de l'interlocuteur ( élaboration du concept de " face positive" de l'écouteur exprimé par Brown et Levinson, 1987).
- éviter l'imposition de l'interlocuteur ( élaboration du concept de " face négative" exprimé par Brown e Levinson)
– évaluer l'évaluation négative de l'écouteur
- Être claire ( maxime de manière de Grice, 1989),
- Être concret ( rejoindre le but/exécution du devoir). En partant des données de Kim, on voit apparaitre trois facteurs importants, l'importance de la gestion de la face, l'importance du devoir et l'importance de la clarté. Même entre britannique et chinois, l'importance du devoir et de la gestion de la face est essentiel. Selon Spencer-Oatey, pour les britanniques, un élément important est celui du droit, c'est-à-dire que l'importance pour la face de l'interlocuteur dépend du fait de penser qu'il a le droit de demander une certaine chose ou une faveur par exemple. Pour Spencer-Oatey ( 2000, 2001), elle affirme que le droit dans la socialité sont un facteur important pour souligner la gestion de la relation et que cette notion de droit devrait avoir plus de place dans les études contrastives. Un domaine de recherche pour Spencer-Oatey pourrait être les façons utilisées pour les parlants pour trouver un accord sur leur droit dans une certaine situation et en quelle mesure elles peuvent être influencé par la culture. Pour Spencer-Oatey, dans la relation entre les personnes, les éléments comme la distance et le pouvoir seront exprimés pragmalinguistiquement, avec le choix des ressources linguistiques, tandis que dans d'autre contexte, c'est plutôt la sociopragmatique qui pourrait être appelée à notre secours, car c'est le signifié social accordé aux situations et aux contextes qui influence nos choix linguistiques. Pour Spencer-Oatey, il n'y a pas seulement la distance sociale, le pouvoir relatif et le degré d'imposition, mais il y a aussi des principes socioculturels qui nous aident à gérer les motivations basiques durant l'interaction : l'importance accordée à la face, les droits et devoir en termes de couts et bénéfices.
Les principes SIP ( sociopragmatical interactional principe ) chez Spencer-Oatey peuvent être indiqué comme les suivants : un style personnel, l'être direct/indirect, humble\assertif, chaleureux\engageant\ froid\distant, clair\vague, routinier\administratif, innovant. Ce sont des styles qui reflètent l'adhésion à une certaine communauté de parlants. Le lien entre sociopragmatique et le monde sociale est réalisé avec deux catégories selon Searle ( 1995): le monde extérieur objectif et le monde sociale avec sa propre vision interne du monde. Pour Searle ( 1995), le monde objectif est déterminé par des vérités factuels, le monde sociale est déterminé par la totalité des relations interpersonnels, légitime, tandis que le monde subjectif est déterminé par les domaines expressif et émotif. Chaque acte communicatif doit être ancrés au moins à un de ces mondes et toujours au monde objectif.
traduzione
La sociopragmatica nell'opera di
Spencer-Oatey
Per Spencer-Oatey, le massime
conversazionali di Grice devono essere superate con l'introduzione di
principi sociopragmatici interazionali. In particolare, l'interesse
si sposta sul concetto di "cultura" per spiegare fenomeni
tipici della pragmatica interculturale. Prima di Spencer-Oatey, il
modello di Leech veniva utilizzato per spiegare le differenze
culturali con l'ausilio del principio di cortesia presente nelle
massime di Leech. Le massime di conversazione di Paul Grice sono
4:
la massima della qualità (dì ciò che ritieni vero); la
massima della pertinenza (dì ciò che devi dire al momento giusto e
nel modo pertinente); la massima della quantità (non dice più o
meno di ciò che è richiesto). La massima del modo (sete breve e
chiara). Le massime non sempre vengono rispettate, ma il loro mancato
rispetto implica la presenza di implicature all'interno della
risposta. Per Leech (1983), la comunicazione umana è supportata da
un principio di cortesia composto da sei massime di cortesia
associate al principio di cooperazione. Per Leech (1983) e Gu (1990),
le massime di cortesia hanno un peso diverso nelle diverse società e
per questo motivo possono spiegare alcune differenze culturali
all'interno della pragmatica contrastiva. La sociopragmatica di
Spencer-Oatey (2001, 2003) rappresenta un principio per guidare una
prospettiva socioculturale all'interno dell'interpretazione del
linguaggio. I principi sono legati ai valori e dovrebbero aiutare
nella gestione delle relazioni con le persone e nella comprensione
del significato del "volto" offerto alle persone in termini
di diritti e doveri interazionali in linea con le norme e le
preferenze. I principi di Spencer-Oatey denominati SIP (principi
interazionali sociopragmatici) possono essere integrati con le tre
prospettive della cortesia individuate a partire da Fraser sulla
cortesia linguistica (1990) in cui vengono evidenziate la prospettiva
delle massime conversazionali, quella del salvare la faccia e quella
del contratto conversazionale.
Vincoli conversazionali nella
sociopragmatica.
Nel lavoro di Kim vengono proposte cinque
costrizioni conversazionali in relazione all'atto della richiesta: le
costrizioni presentate in questo elenco sono le seguenti:
I vincoli conversazionali nella sociopragmatica
secondo Kim sono cinque:
- evitare di ferire i sentimenti
dell'interlocutore (elaborazione del concetto di "volto
positivo" dell'ascoltatore espresso da Brown e Levinson,
1987).
- evitare di imporre l'interlocutore (sviluppo del
concetto di "volto negativo" espresso da Brown e
Levinson)
– valutare la valutazione negativa
dell’ascoltatore
- Sii chiaro (massima di maniera di Grice,
1989),
- Essere concreti (raggiungere l'obiettivo/eseguire il
dovere). Sulla base dei dati di Kim emergono tre fattori importanti:
l'importanza della gestione del volto, l'importanza del dovere e
l'importanza della chiarezza. Anche tra inglesi e cinesi l'importanza
della gestione del dovere e della faccia è essenziale. Secondo
Spencer-Oatey, per gli inglesi un elemento importante è quello del
diritto, cioè l'importanza che ha per la persona dell'interlocutore
il fatto di pensare che egli abbia il diritto di chiedere una certa
cosa o un favore ad esempio. Spencer-Oatey (2000, 2001) sostiene che
il diritto nella socialità è un fattore importante per evidenziare
la gestione della relazione e che questa nozione di diritto dovrebbe
avere più spazio negli studi contrastivi. Un ambito di ricerca di
Spencer-Oatey potrebbe riguardare le modalità con cui i parlanti
giungono a un accordo sui propri diritti in una determinata
situazione e la misura in cui questi possono essere influenzati dalla
cultura. Per Spencer-Oatey, nella relazione tra le persone, elementi
come la distanza e il potere saranno espressi pragmalinguisticamente,
con la scelta delle risorse linguistiche, mentre in altri contesti è
piuttosto la sociopragmatica che potrebbe essere chiamata in nostro
aiuto, perché è il significato sociale attribuito alle situazioni e
ai contesti che influenza le nostre scelte linguistiche. Per
Spencer-Oatey non contano solo la distanza sociale, il potere
relativo e il grado di imposizione, ma anche i principi
socioculturali che ci aiutano a gestire le motivazioni di base
durante l'interazione: l'importanza data al volto, ai diritti e ai
doveri in termini di costi e benefici.
I principi SIP (principio di interazione
sociopragmatica) in Spencer-Oatey possono essere indicati come segue:
uno stile personale, diretto/indiretto, umile/assertivo,
caldo/coinvolgente/freddo/distante, chiaro/vago, di
routine/amministrativo, innovativo. Si tratta di stili che riflettono
l'appartenenza a una determinata comunità di parlanti. Il legame tra
sociopragmatica e mondo sociale viene stabilito secondo Searle (1995)
attraverso due categorie: il mondo esterno oggettivo e il mondo
sociale con la sua visione interna del mondo. Per Searle (1995), il
mondo oggettivo è determinato da verità fattuali, il mondo sociale
è determinato dalla totalità delle relazioni interpersonali
legittime, mentre il mondo soggettivo è determinato dai domini
espressivo ed emotivo. Ogni atto comunicativo deve essere ancorato
almeno a uno di questi mondi e sempre al mondo oggettivo.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire