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mercredi 11 juin 2025
1 minuto per pensare
Les différentes " faces" de la pragmatique linguistique \ le tante " facce" della pragmatica linguistica
Les différentes " faces" de la pragmatique linguistique dans la recherche universitaire italienne
Traits généraux et intersections
La perspective pragmatique, entendu comme perspective cognitive, sociale et culturelle sur les phénomènes linguistiques ( Verschueren, 1999) est différente des autres approches linguistiques pour trois points essentiellement: – une naissance récente, attention sur le contexte et tous ces éléments pour comprendre le langage.
Forte dimension interdisciplinaire
Les notions les plus récurrentes sont : la performativité, la préférence, le système de tours de paroles, le principe de coopération avec sa notion d'implicature conversationnel, le concept de " approprié" et " séquentialité".
La notion de contexte a été analysé sur son rapport entre " globale et locale". Le niveau " globale" avec ces éléments présents comme le lien, le moyen et le temps de l'énonciation, le type et le but de l'interaction, une dimension de type in/ formalité attendu dans les situations de communication, la variété sociolinguistique des interactants, les connaissances et croyance partagé.
— Sur le plan " locale", le contexte s'active durant l'interaction, l'information linguistique, la prosodie ( la durée, l'intensité et la fréquence de la voix).
- élément extralinguistique ( mouvement du corps, regard, expression du visage), modalité de l'interaction ( intention et réaction des interactants, expression des émotions, développement textuel et conversationnel, négociation et compréhension. Un cas particulier est celui de la résolution des malentendus à l'intérieur de la communication interculturelle ( Bettoni, 2006).
La deixis comme moyen de positionnement et identification des personnes, objets, événement durant l'acte d'énonciation. Dans le contexte de la recherche italienne, la deixis personnel a été étudié pour comprendre des phénomènes de référence et construction de l'identité :
- usage atypique du pronom " nous"
- le " tu" générique
- les allocutifs émotionnel avec l'usage de termes familiaux pour se référer par exemple à son chien, chat " vieni da mamma".
Pragmatique du texte et metapragmatique
La cohérence d'un texte regarde des aspects pragmatiques relatifs au partage et compréhension des connaissances encyclopédique, ainsi comme pour le discours rapporté, la répétition dialogique ( reprise d'une partie du texte orale de l'interlocuteur) et polyphonique ( répétions de syntagme fixe de film, titre de livre, citation de livres, proverbes, stéréotypes, routine conversationnels, slogan, chanson, titres de journaux. Tous ces éléments sont utiles comme formes de construction des dialogues. La metapragmatique n'est pas trop pratiqué comme activité des effets du langage, par exemple " demande pardon, excuse-toi, est-ce que tu comprends ce que je veux dire".
- Les actes de langage sont l'objet primaire de la pragmatique linguistique avec la théorie des actes de parole comme le point de repère pour les autres objets de la pragmatique linguistique comme les présupposés en pragmatique, les implicites du discours, la séquence du discours, la construction d'actes de parole en macro-traits, l'interaction dialogique tient en compte des circonstances, des buts, fonctions et degré d'intensité sont des points importants pour étudier les aspects interactionnels et contrastifs dans le domaine de la pragmatique.
La façon de comprendre un acte de langage ( sa force illocutoire) comme un ordre, une requête, un conseil, une menace sont très répandus surtout du point de vue de sa " gradualité" ( le dosage de l'acte) avec tous les phénomènes d'augmentation ou réduction de l'intensité. Le domaine de l'analyse de la conversation a souvent analysé les éléments de construction des tours de parole, la notion de préférence dans les séquences complémentaires ( salutation\salutation ; question\ réponse). La notion de silence ou absence de silence durant les tours de parole sont très riches d'implication dans le domaine de la pragmatique linguistique.
Structure linguistique, usage de la langue et signifié
Le rapport étroit entre la structure linguistique et l'usage de la langue en situation a donné à la pragmatique une conception différente du signifié qui dépasse celui sémantique. Le cas plus représentatif est celui des connecteurs logiques. La construction du sens est le résultat de l'interaction entre les composantes des textes, le contextuel et l'interaction au-delà du niveau cognitif. Le sens, à l'intérieur d'une interaction dialogique, se ( co)- construit aussi en utilisant des éléments grammaticaux comme les deitiques personnels, les temps verbaux, l'imparfait comme présent, le futur de l'hypothèse, le conditionnel de mitigation. Sur le caractère indéterminé de la langue, on fait souvent recourt à l'implicite avec des présuppositions ( qui sont des assertions sur des objets, personnes. L'écart entre le dit et le non dit est essentiel dans le domaine de la métaphore, expression idiomatique, humour, ironie). L'acte de communication est toujours réglé par des forces pragmatiques et culturels.
traduzione
I diversi "volti" della pragmatica linguistica nella
ricerca accademica italiana
Caratteristiche generali e
intersezioni
La prospettiva pragmatica, intesa come
prospettiva cognitiva, sociale e culturale sui fenomeni linguistici
(Verschueren, 1999), si differenzia dagli altri approcci linguistici
per tre aspetti principali: – la recente emergenza, l'attenzione al
contesto e a tutti i suoi elementi per la comprensione del
linguaggio.
Forte dimensione interdisciplinare
I
concetti più ricorrenti sono: performatività, preferenza, sistema
di turni di parola, il principio di cooperazione con la sua nozione
di implicatura conversazionale, i concetti di "appropriatezza"
e "sequenzialità".
La nozione di contesto è stata
analizzata in termini di relazione tra "globale e locale".
Il livello "globale" include elementi quali il legame, il
mezzo e il tempo di enunciazione, il tipo e lo scopo
dell'interazione, una dimensione di informalità/formalità attesa
nelle situazioni comunicative, la varietà sociolinguistica degli
interlocutori e la conoscenza e le convinzioni condivise. — A
livello "locale", il contesto viene attivato durante
l'interazione, insieme alle informazioni linguistiche e alla prosodia
(durata, intensità e frequenza della voce).
- elementi
extralinguistici (movimento del corpo, sguardo, espressione facciale)
e la modalità dell'interazione (intenzione e reazione dei
partecipanti, espressione delle emozioni, sviluppo testuale e
conversazionale, negoziazione e comprensione). Un caso particolare è
quello della risoluzione di incomprensioni nella comunicazione
interculturale (Bettoni, 2006).
La deissi come mezzo di
posizionamento e identificazione
La deissi come mezzo per posizionare e identificare persone,
oggetti ed eventi durante l'atto enunciativo. Nel contesto della
ricerca italiana, la deissi personale è stata studiata per
comprendere fenomeni di riferimento e costruzione dell'identità:
-
uso atipico del pronome "noi"
- il generico "tu"
-
allocutivi emozionali con l'uso di termini familiari per riferirsi,
ad esempio, al proprio cane o gatto, "vieni da mamma" (la
vita della madre).
Pragmatica e metapragmatica del
testo
La coerenza di un testo considera aspetti pragmatici
legati alla condivisione e alla comprensione del sapere
enciclopedico, così come il discorso indiretto, la ripetizione
dialogica (ripetizione di parti del testo parlato dal parlante) e la
ripetizione polifonica (ripetizioni di frasi fisse tratte da film,
titoli di libri, citazioni da libri, proverbi, stereotipi, routine
conversazionali, slogan, canzoni, titoli di giornale). Tutti questi
elementi sono utili come forme di costruzione del dialogo. La
metapragmatica non è ampiamente praticata come attività che
coinvolge effetti linguistici, ad esempio "chiedere perdono,
scusarsi, hai capito cosa intendo?".
- Gli atti
linguistici sono l'oggetto principale della pragmatica linguistica,
con la teoria degli atti linguistici che funge da punto di
riferimento per altri argomenti della pragmatica linguistica, come le
presupposizioni in pragmatica, il discorso implicito, la sequenza del
discorso, la costruzione degli atti linguistici in
macro-caratteristiche e l'interazione. La dialogica considera
circostanze, obiettivi, funzioni e grado di intensità come punti
importanti per studiare gli aspetti interazionali e contrastivi nel
campo della pragmatica.
Il modo di intendere un atto linguistico (la sua forza
illocutoria) come un ordine, una richiesta, un consiglio o una
minaccia è diffuso, soprattutto dal punto di vista della sua
"gradualità" (il dosaggio dell'atto) con tutti i fenomeni
di intensità crescente o decrescente. L'analisi della conversazione
ha spesso analizzato gli elementi della costruzione del turno di
parola, la nozione di preferenza in sequenze complementari
(saluto/saluto; domanda/risposta). La nozione di silenzio o assenza
di silenzio durante i turni di parola ha implicazioni molto ricche
nel campo della pragmatica linguistica.
Struttura
linguistica, uso della lingua e significato
La stretta
relazione tra struttura linguistica e uso della lingua nel contesto
ha fornito alla pragmatica una diversa concezione del significato che
va oltre la semantica. Il caso più rappresentativo è quello dei
connettivi logici. La costruzione del significato è il risultato
dell'interazione tra le componenti del testo, il contesto e
l'interazione oltre il livello cognitivo. Il significato, all'interno
di un'interazione dialogica, è anche (co)costruito utilizzando
elementi grammaticali come la deitica personale, i tempi verbali,
l'imperfetto come presente, il futuro dell'ipotesi, il condizionale
di attenuazione. A causa del carattere indeterminato del linguaggio,
spesso ricorriamo all'implicito con presupposizioni (che sono
asserzioni su oggetti, persone. Il divario tra il detto e il non
detto è essenziale nel dominio della metafora, dell'espressione
idiomatica, dell'umorismo, dell'ironia). L'atto comunicativo è
sempre regolato da forze pragmatiche e culturali.
mardi 10 juin 2025
Le fort degré d'imposition du président Silvio Berlusconi pour signaler son désaccord à la journaliste Lucia Annunziata
Le fort degré d'imposition du président Silvio Berlusconi pour signaler son désaccord à la journaliste Lucia Annunziata
Cet entretien a eu lieu le 12 mars 1996 durant l'émission " en 30 minutes" présenté par la journaliste Lucia Annunziata sur la troisième chaine télévisuel italienne Rai 3. Dans cet extrait de l'entretien, il sera possible d'observer de façon claire et évidente le degré d'imposition ( Brown et Levinson, 1987) présent à l'intérieur des tours de parole de celui qui détient le pouvoir politique comme dans le cas du président du conseil Berlusconi. Durant l'entretien, Berlusconi va demander d'avoir la gestion des tours de parole en effectuant des attaques à la face positive de la journaliste pour annuler le plus petit droit-devoir ou coût-bénéfice ( Spencer-Oatey, Jiang 2003) possible durant un échange entre deux personnes. Le style conversationnel de l'invité Berlusconi est de type " assertif" avec un fort degré d'imposition ayant comme fonction de redéfinir l'agentivité ( Duranti, 2007) de la journaliste devant cet espace conversationnel en menaçant son droit\devoir interactionnel d'effectuer des questions à l'intérieur de cet événement linguistique ( Hymnes, 1972). L'entretien est perçu comme un contexte ( Duranti, Goodwin, 1992) où l'invité détient le droit de mettre en avant son besoin de face positive en faisant la liste de ces succès comme manière d'obtenir des bénéfices interactionnel. Dans les entretiens médiatiques, la stratégie du changement de personne est une tactique très fréquente pour essayer avoir un certain poids ou changer le cours de l'entretien en sa faveur en termes de face positive. Le degré d'imposition de Berlusconi fait partie d'une vision du pouvoir bien comprise entre les deux interlocuteurs ( Brown et Levinson, 1987) où celui qui détient le pouvoir entend gérer la conversation en minimisant les coûts pour sa face positive de la journaliste à cause de l'impossibilité d'effectuer sa profession de journaliste. Dans ce genre de relation très asymétrique, l'expression du désaccord passe à travers l'expression " ce n'est pas vrai" qui représente le moyen linguistique de renverser la réalité présenté dans un énoncé et fait partie des désaccords centrée sur la non-acceptation ( Holfgraves, 2005). Dans cet entretien, nous voyons une complète indisponibilité à payer aucun coût et offrir aucun bénéfice durant l'échange interactionnel. Cette situation conversationnelle conduit vers un fort désaccord ( Grinshaw, Vulchinich, 1990) ou bien à la pleine adhésion avec les affirmations soutenues par l'invité dans ce cas ( Fairclough, 1995). Dans le domaine de l'entretien journalistique, le survoulement d'un désaccord peut être bénéfice si l'objectif est celui de poursuivre l'entretien avec l'invité malgré le gros désaccord. Dans ce genre de situation communicative, la mitigation peut essayer de réparer les coûts très fort subit pour la face positive avec le but non déclaré de pouvoir poursuivre l'entretien comme forme de bénéfice pour la face positive de la journaliste. À l'intérieur de l'entretien se représente de nouveau les éléments avec un fort degré d'imposition, par exemple avec la répétition de " vous maintenant" comme signalement de non-respect de la maxime de quantité ( Grice, 1975) de la part de la journaliste pour avoir renvoyé les droits-bénéfices ( Spencer-Oatey, Jiang, 2003) de l'invité d'expliciter sa version des faits.
Un degré d'imposition trop élevé rend trop claire une non-disponibilité psychologique ( Holfgraves, 2005) d'accepter le droit\devoir de la journaliste d'effectuer des questions. L'usage de termes d'allocutions très différents rend transparente la différence dans la nominalisation et indexicalisation de la personne entre l'invité Berlusconi et la journaliste Annunziata. Dans cette interview, il parait assez évident une non-condivision du sens pragmatique d'un entretien à la télévision. Pour la journaliste, l'entretien est une occasion pour poser des questions, tandis que pour l'invité Berlusconi, c'est une occasion disponible à sa guise. On pourrait attribuer ce long désaccord à cette vision divergente de l'événement " entretien". Pour Berlusconi, le public à la maison n'est pas un téléspectateur mais un électeur tandis que pour la journaliste, l'entretien représente un moment d'approfondissement du bilan politique de Berlusconi. Cependant, la journaliste, pour sauver un minimum d'équilibre interactionnel ( Goffmann, 1967) nécessaire pour le déroulement de la conversation, devra conseiller à l'invité de ne pas effectuer des actes de langues qui pourraient être très couteux pour le besoin de face positive de Berlusconi. La menace de quitter les studios d'enregistrement de la part de Berlusconi représente seulement apparemment une forme de bénéfice immédiat pour son besoin de face négative obtenu avec ses non-réponses aux questions posées par la journaliste. Le désaccord, dans un contexte avec une forte présence d'asymetrie sociale et de degré d'imposition, est souvent de nature " psychologique", c'est-à-dire une absence de notification de la réalité de l'autre à travers une " non-disponibilité psychologique" envers l'écoute de tes propos. En termes sociopragmatique, on observe un style conversationnel de Berlusconi de type " affirmé" avec un fort degré d'imposition signalé par la présence d'une intonation de voix très dure et d'une grande distance sociale avec la journaliste. Cette distance sociale de Berlusconi envers la journaliste Annunziata est agencé ( Duranti, 2007) en définissant la journaliste comme une personne " qui a des préjugés et qui est de gauche", tandis que la journaliste répond que le président Berlusconi représente une personne qui ne sait pas traiter avec les journalistes avec comme implicite ( Grice, 1975) son incapacité de vouloir payer des couts pour sa participation à un échange verbal comme un entretien.
Traduzione
L'alto livello di potere imposto dal Presidente Silvio Berlusconi
per segnalare il suo disaccordo alla giornalista Lucia
Annunziata
Questa intervista è stata condotta il 12 marzo
1996, durante il programma "In 30 minuti", condotto dalla
giornalista Lucia Annunziata su Rai 3. In questo estratto
dell'intervista, è possibile osservare chiaramente e in modo
evidente il grado di potere imposto (Brown e Levinson, 1987) presente
nei turni di parola di coloro che detengono il potere politico, come
nel caso del Presidente del Consiglio Berlusconi. Durante
l'intervista, Berlusconi pretende di controllare i turni di parola
attaccando il lato positivo del giornalista per vanificare il più
piccolo rapporto diritto-dovere o costo-beneficio possibile
(Spencer-Oatey, Jiang, 2003) durante uno scambio tra due persone. Lo
stile conversazionale dell'ospite Berlusconi è di tipo "assertivo",
con un alto grado di imposizione, volto a ridefinire l'agenzia
(Duranti, 2007) del giornalista di fronte a questo spazio
conversazionale, minacciando il suo diritto/dovere interazionale di
porre domande all'interno di questo evento linguistico (Inni, 1972).
L'intervista è percepita come un contesto (Duranti, Goodwin, 1992)
in cui l'ospite ha il diritto di evidenziare il suo bisogno di
un'immagine positiva, elencando questi successi come un modo per
ottenere benefici interazionali. Nelle interviste ai media, la
strategia di cambiare persona è una tattica molto comune per cercare
di guadagnare peso o modificare il corso dell'intervista a suo favore
in termini di immagine positiva. Il grado di imposizione di
Berlusconi rientra in una visione di potere ben compresa tra i due
interlocutori (Brown e Levinson, 1987) dove chi detiene il potere
intende gestire il dialogo minimizzando i costi per la sua immagine
positiva di giornalista dovuti all'impossibilità di svolgere la sua
professione di giornalista. In questo tipo di relazione fortemente
asimmetrica, l'espressione di disaccordo si esprime attraverso
l'espressione "non è vero", che rappresenta il mezzo
linguistico per capovolgere la realtà presentata in un'affermazione
e fa parte dei disaccordi incentrati sulla non accettazione
(Holfgraves, 2005). In questa intervista, osserviamo una totale
riluttanza a pagare qualsiasi costo e a offrire qualsiasi beneficio
durante lo scambio interattivo. Questa situazione conversazionale
porta a un forte disaccordo (Grinshaw, Vulchinich, 1990) o al pieno
accordo con le affermazioni fatte dall'ospite in questo caso
(Fairclough, 1995). Nel campo delle interviste giornalistiche,
superare un disaccordo può essere vantaggioso se l'obiettivo è
continuare l'intervista con l'ospite nonostante il forte disaccordo.
In questo tipo di situazione comunicativa, la mitigazione può
cercare di riparare i fortissimi costi sostenuti per la parte
positiva, con l'obiettivo non dichiarato di poter continuare
l'intervista come forma di beneficio per la parte positiva del
giornalista. All'interno dell'intervista, elementi con un alto grado
di imposizione vengono riproposti, ad esempio con la ripetizione di
"you now" come segnale di inosservanza della massima
quantitativa (Grice, 1975) da parte del giornalista per aver ignorato
i diritti-benefici dell'ospite (Spencer-Oatey, Jiang, 2003) di
spiegare la sua versione dei fatti. Un grado di imposizione troppo
elevato rende troppo evidente una riluttanza psicologica (Holfgraves,
2005) ad accettare il diritto/dovere del giornalista di porre
domande.
L'uso di termini di riferimento molto diversi rende trasparente la differenza nella nominalizzazione e nell'indicizzazione della persona tra l'ospite Berlusconi e la giornalista Annunziata. In questa intervista, appare piuttosto evidente che il significato pragmatico di un'intervista televisiva non sia diviso. Per il giornalista, l'intervista è un'opportunità per porre domande, mentre per l'ospite Berlusconi è un'opportunità disponibile a suo piacimento. Si potrebbe attribuire questo lungo disaccordo a questa visione divergente dell'evento "intervista". Per Berlusconi, il pubblico a casa non è uno spettatore ma un elettore, mentre per il giornalista l'intervista rappresenta un momento di approfondimento del percorso politico di Berlusconi. Tuttavia, il giornalista, al fine di mantenere un minimo di equilibrio interazionale (Goffmann, 1967) necessario al proseguimento della conversazione, dovrà consigliare all'ospite di non compiere atti linguistici che potrebbero risultare molto costosi per il bisogno di un'immagine positiva di Berlusconi. La minaccia di Berlusconi di lasciare gli studi di registrazione rappresenta solo apparentemente una forma di beneficio immediato per il suo bisogno di un'immagine negativa ottenuta con le sue mancate risposte alle domande poste dal giornalista. Il disaccordo, in un contesto con una forte presenza di asimmetria sociale e un alto grado di imposizione, è spesso di natura "psicologica", ovvero una mancata notifica della realtà dell'altro attraverso una "indisponibilità psicologica" all'ascolto delle proprie parole. In termini sociopragmatici, osserviamo uno stile conversazionale di Berlusconi di tipo "assertivo" con un alto grado di imposizione segnalato dalla presenza di un'intonazione di voce molto dura e da una grande distanza sociale dal giornalista. Questa distanza sociale di Berlusconi nei confronti della giornalista Annunziata viene sistematicamente gestita (Duranti, 2007) definendo la giornalista come una persona "che ha pregiudizi ed è di sinistra", mentre la giornalista risponde che il Presidente Berlusconi rappresenta una persona che non sa come rapportarsi con i giornalisti, avendo come implicita (Grice, 1975) la sua impossibilità di voler sostenere i costi per la sua partecipazione a uno scambio verbale come un'intervista.
lundi 9 juin 2025
Il disaccordo al termine dell'intervista tra Nichi Vendola e Paolo Ferrero
Le désaccord à la fin de la conversation entre Nichi Vendola et Paolo Ferrero
Le débat politique entre les deux membres de l'ex-parti communiste italien, c'est tenu le 3 mai 2009 à l'intérieur du programme télé " in mezz'ora" ( en trente minutes) sur la troisième chaine tv italienne Rai 3 durant la période électorale 2009. L'événement linguistique ( hymnes, 1972) a eu lieu dans un studio dans lequel l'emplacement des invités au but non déclaré ( Duranti, 1997) de mettre en compétition les opinions des participants au débat. En termes de style conversationnel ( Spencer-Oatey, Jiang, 2003) nous pouvons soutenir que le député de gauche Nichi Vendola possède un style personnel et innovant en terme linguistique, tandis que le style conversationnel du secrétaire du parti communiste Paolo Ferrero semble être de nature plus humble et habitudinaire. Le but officiel du désaccord de Vendola est de montrer la non-compétence de Ferrero dans sa capacité de faire l'opposition, avec comme conséquence de rechercher et obtenir des bénéfices interactionnels pour son besoin de face positive entendu comme le vrai représentant de la face collective ( Schwartz, 1992) de la gauche italienne. Le désaccord entre les deux candidats de gauche apportent des avantages pendant cette période électorale. Le désaccord est toujours perçu comme très sévère quand il menace l'identité professionnelle de l'autre interlocuteur et il essaie d'obtenir des bénéfices qui peuvent être plus couteux que bénéfiques en termes de face positive, vu qu'ils mettent en discussion la connaissance des faits politique à l'intérieur du même parti politique. La production du désaccord avec explication de la part de Ferrero ( désaccord qualifié) a le but de rétablir un équilibre entre les coûts et les bénéfices interactionnels entre les deux interlocuteurs ( Spencer-Oatey, Jiang, 2003). Dans cet entretien, Vendola préfère essayer d'expliquer sa vision de la gauche comme une tentative d'obtenir quelques bénéfices en termes de face positive dans les regards des téléspectateurs.
Il disaccordo al termine dell'intervista tra Nichi Vendola e Paolo
Ferrero
Il dibattito politico tra i due ex membri del
Partito Comunista Italiano si è svolto il 3 maggio 2009, durante la
trasmissione televisiva "In Mezz'ora" su Rai 3, terza
emittente televisiva italiana, durante il periodo elettorale del
2009. L'evento linguistico (Inni, 1972) si è svolto in uno studio
dove erano sistemati gli ospiti, con lo scopo non dichiarato
(Duranti, 1997) di creare competizione tra le opinioni dei
partecipanti al dibattito. In termini di stile colloquiale
(Spencer-Oatey, Jiang, 2003), possiamo sostenere che il parlamentare
di sinistra Nichi Vendola possiede uno stile linguistico personale e
innovativo, mentre lo stile colloquiale del segretario del Partito
Comunista Paolo Ferrero appare più umile e abituale. Lo scopo
ufficiale del disaccordo di Vendola è dimostrare l'incompetenza di
Ferrero nella sua capacità di agire come avversario, con la
conseguenza di ricercare e ottenere benefici interazionali per il suo
bisogno di un'immagine positiva, intesa come il vero rappresentante
dell'immagine collettiva (Schwartz, 1992) della sinistra italiana. Il
disaccordo tra i due candidati di sinistra porta vantaggi in questo
periodo elettorale. Il disaccordo è sempre percepito come molto
grave quando minaccia l'identità professionale dell'altro
interlocutore e tenta di ottenere benefici che possono essere più
costosi che benefici in termini di immagine positiva, poiché mettono
in discussione la conoscenza dei fatti politici all'interno dello
stesso partito politico. La produzione di disaccordo con spiegazione
da parte di Ferrero (disaccordo qualificato) mira a ristabilire un
equilibrio tra costi e benefici interazionali tra i due interlocutori
(Spencer-Oatey, Jiang, 2003). In questa intervista, Vendola
preferisce cercare di spiegare la sua visione della sinistra come un
tentativo di ottenere alcuni benefici in termini di immagine positiva
agli occhi degli spettatori.
samedi 7 juin 2025
Analyse de l'interaction entre le journaliste Marco Travaglio et l'avocat de Berlusconi Monsieur Ghedini
vendredi 6 juin 2025
traduction Choc des Titans ? articolo ISPI
Scontro tra titani?
Dopo un incontro con il cancelliere tedesco Friedrich Merz, che non aveva riservato grandi colpi di scena, il crescendo dipanatosi nella serata di ieri a colpi di tweet sulle piattaforme X e Thuth, ha di fatto monopolizzato la cronaca politica statunitense : “Non credo che avrò più un grande rapporto con Elon”, aveva detto Trump ai reporter dello Studio ovale: “Conosceva la legge di bilancio, ma ha avuto un problema solo quando ha scoperto che abbiamo eliminato le norme sulle auto elettriche che favorivano anche Tesla”. Musk ha replicato furente su X: “Falso, non mi è mai stata mostrata, è stata approvata furtivamente nel cuore della notte, tanto che quasi nessuno nel Congresso ha potuto leggerla”. E ha proseguito: “Senza di me Trump avrebbe perso le elezioni, i Democratici avrebbero controllato la Camera e i Repubblicani sarebbero stati 51-49 al Senato. Che ingratitudine”. Musk “è semplicemente diventato matto” ha replicato Trump, innescando quella che Musk ha definito “la bomba più grande” dichiarando, senza fornire prove, che il nome di Trump appariva nei “file Epstein”, miliardario amico del presidente morto suicida in carcere per aver gestito un traffico di minorenni nel mondo del jet-set. “Questo è il vero motivo per cui i file dell’inchiesta non sono stati resi pubblici” ha insinuato Musk, auspicando perfino l’impeachment del Presidente. Dalla sua, Trump ha avanzato una minaccia neanche troppo velata, suggerendo che “il modo più semplice per risparmiare sul nostro bilancio, miliardi e miliardi di dollari, è porre fine ai sussidi e ai contratti governativi di Elon”. Per tutta risposta quest’ultimo ha affermato che avrebbe ritirato la sua navicella spaziale Dragon, commissionata dalla NASA.
traduction
Choc des Titans ?
Après une rencontre avec le chancelier allemand Friedrich Merz, qui n'avait réservé aucun rebondissement majeur, le crescendo de tweets sur les plateformes X et Thuth hier soir a monopolisé l'actualité politique américaine : « Je ne pense pas que j'aurai encore une excellente relation avec Elon », a déclaré Trump aux journalistes dans le Bureau ovale : « Il connaissait la loi budgétaire, mais il n'a eu de problème que lorsqu'il a découvert que nous avions supprimé les règles sur les voitures électriques, qui favorisaient également Tesla.» Musk a réagi avec fureur sur X : « Faux, on ne me l'a jamais montré, elle a été adoptée furtivement au milieu de la nuit, à tel point que presque personne au Congrès n'a pu la lire.» Et il a poursuivi : « Sans moi, Trump aurait perdu les élections, les Démocrates auraient contrôlé la Chambre et les Républicains auraient eu 51 voix contre 49 voix au Sénat. Quelle ingratitude.» Elon Musk a « pété les plombs », a rétorqué Trump, déclenchant ce qu'il a qualifié de « bombe explosive » en déclarant, sans fournir de preuves, que le nom de Trump figurait dans les « dossiers Epstein », un milliardaire ami du président qui s'est suicidé en prison pour avoir dirigé un réseau de trafic sexuel de mineures dans la jet-set. « C'est la véritable raison pour laquelle les dossiers de l'enquête n'ont pas été rendus publics », a insinué Musk, appelant même à la destitution du président. De son côté, Trump a proféré une menace à peine voilée, suggérant que « le moyen le plus simple d'économiser notre budget, des milliards et des milliards de dollars, est de mettre fin aux subventions et aux contrats gouvernementaux d'Elon Musk ». En réponse, ce dernier a annoncé qu'il retirerait son vaisseau spatial Dragon, commandé par la NASA.
tiré de ISPI
TRUMP-MUSK: SENZA ESCLUSIONE DI COLPI
TRUMP-MUSK: SENZA ESCLUSIONE DI COLPI
“Ha dato di matto dopo che l'ho cacciato”, “Trump è nei file di Epstein”: e mentre Washington tenta di smorzare i toni della rottura nella relazione più influente al mondo, quella tra Trump ed Elon Musk, la base MAGA festeggia.
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All’indomani di un botta e risposta senza precedenti, la Casa Bianca cerca di smorzare i toni dello scontro divampato tra il presidente Usa Donald Trump ed Elon Musk: lo staff del tycoon ha programmato per oggi una telefonata per provare a circoscrivere una tempesta che però sembra ormai deflagrata. Dopo giorni di indiscrezioni sui motivi delle dimissioni del patron di Tesla dall’amministrazione americana, e tensioni che i diretti interessati hanno provato a nascondere, la rottura si è consumata pubblicamente e senza esclusione di colpi. “Gli ho chiesto di andarsene ed è impazzito”, ha detto ieri Trump, in riferimento alla dipartita di Musk dalla guida del Doge, il Dipartimento per l’efficienza governativa, nuovo organo dell’amministrazione Usa dedicato ai tagli della spesa pubblica. La miccia però l’aveva già accesa l’ex alleato fondatore di Space X attaccando la legge di bilancio, il “one big beautiful bill” (Obba) voluto da Trump, definendolo “un disgustoso abominio” che mette gli Stati Uniti “sulla corsia preferenziale per la bancarotta”. Giorni fa, la conferenza stampa d’addio a Musk, che lasciava Washington per “dedicarsi alle sue aziende”, aveva cercato di archiviare la separazione in maniera pacifica. Ma nessuno si è veramente stupito che tra due personalità come quelle dell’uomo più potente del mondo e quello più ricco del Pianeta alla fine siano volati gli stracci. E oggi il New York Times elenca gli otto modi in cui i due potrebbero farsi male a vicenda.
traduction
TRUMP-MUSK : PAS D’EXCLUSION PAR LE SANG
« Il est devenu fou après que je l’ai mis dehors », « Trump est dans les dossiers d’Epstein » : tandis que Washington tente d’atténuer la rupture de la relation la plus influente au monde, celle entre Trump et Elon Musk, la base MAGA se réjouit.
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Après un échange inédit, la Maison Blanche tente d’apaiser le conflit qui a éclaté entre le président américain Donald Trump et Elon Musk : l’équipe du magnat a prévu un appel téléphonique aujourd’hui pour tenter de contenir une tempête qui semble désormais éclater. Après des jours de rumeurs sur les raisons de la démission du patron de Tesla de l’administration américaine, et des tensions que les personnes directement impliquées ont tenté de dissimuler, la rupture a eu lieu publiquement et sans retenue. « Je lui ai demandé de partir et il est devenu fou », a déclaré Trump hier, faisant référence au départ d’Elon Musk de la direction du Doge, le Département pour l’efficacité gouvernementale, le nouvel organe de l’administration américaine chargé des réductions des dépenses publiques. La mèche avait pourtant déjà été allumée par l'ancien allié et fondateur de Space X, qui s'en était pris à la loi budgétaire, le « grand et beau projet de loi » (Obba) voulu par Trump, la qualifiant d'« abomination répugnante » qui mène les États-Unis « sur la voie rapide de la faillite ». Quelques jours plus tôt, la conférence de presse d'adieu d'Elon Musk, qui quittait Washington pour « se consacrer à ses entreprises », avait tenté d'organiser la séparation pacifiquement. Mais personne n'a été vraiment surpris qu'entre deux personnalités comme celles de l'homme le plus puissant du monde et de l'homme le plus riche de la planète, la tension ait fini par s'envoler. Et aujourd'hui, le New York Times énumère les huit façons dont les deux hommes pourraient se nuire mutuellement.
article tiré de newsletter ISPI
Initiales David Cairol chanson pour la francophonie
Initiales David Cairol
https://youtu.be/QwqQCOJl2Qs
Vocabulaire
Un CDI : contrat à durée indéterminée.
Un CDD : contrat à durée déterminée.
Le RMI : le revenu minimum d’insertion.
Une CB : une carte bleue.
Le BA ba : la base d’un apprentissage, ce sont les premières lettres que l’on apprend à lire.
L’EPO : érythropoïétine, hormone quelquefois utilisée pour le dopage.
Une BA : bonne action, une action effectuée pour aider quelqu’un.
Le triple A : note accordée à un pays pour évaluer ses capacités financières.
Noter les initiales suivantes au tableau : BB – NRV – NRJ – ID
À deux. Lisez ces groupes de lettres à voix haute. Que remarquez-vous ?
Quel est le point commun de ces groupes de lettres ?
Quels autres mots ou phrases pouvez-vous former avec des lettres ?
Pistes de correction :
Ces groupes de lettres forment des mots quand on les lit à voix haute ;
BB = bébé ; NRV = énervé ; NRJ = énergie ; ID = idée
JV = j’y vais ; GHT = J’ai acheté ; LHO : elle a chaud. Etc.
Connaissez-vous la signification de certains de ces sigles ?
Mise en commun à l’oral.
Pistes de correction :
Voir vocabulaire en début de fiche.
Proposer aux apprenants la liste d’adjectifs suivants, en la notant au tableau par exemple :
ambitieux – artiste – conformiste – hypocrite – idéaliste – libre –passionné – sincère
En petits groupes. Sélectionnez dans cette liste les traits de caractère du chanteur selon vous.
Quels autres éléments pouvez-vous ajouter à cette liste ?
Mise en commun à l’oral en grand groupe : les apprenants donnent leur opinion, justifient leurs réponses et commentent celles des autres.
Expression orale et écrite |
Niveaux : B1, B2 |
Distribuer les paroles de la chanson.
En petits groupes. Quels événements personnels le chanteur raconte-t-il dans la chanson ? Sélectionnez ceux qui vous semblent les plus importants.
Pour quelles grandes idées semble-t-il se battre ?
En vous appuyant sur la chanson, rédigez un portrait du chanteur et racontez son parcours personnel.
Mise en commun : chaque groupe tente de « traduire » un maximum d’éléments en lettres comme dans le clip et les écrit sur une feuille de papier. Pendant qu’un des membres du groupe présente son portrait, les autres montrent à la classe les papiers sur lesquels certains mots ont été « traduits » : à chaque mot montré, le lecteur se tait et la classe doit prononcer les lettres écrites pour retrouver le mot.
En petits groupes. Dans la chanson, le chanteur déclare qu’il « obéit à ses idéaux le poing levé, la flamme dans les yeux ». Selon vous, est-ce le rôle d’un chanteur, d’un artiste, de se battre pour ses idéaux ? Argumentez en justifiant votre réponse.
Mise en commun sous forme de débat.
reliez les paroles de la chanson à ce qu’elles signifient.
1. Voici mon bébé, je donne la vie sur CD |
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a. J’ai souvent changé de travail. |
2. J’ai connu les CDI, les CDD… |
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b. Connaître ses origines c’est une base. |
3. …puis l’ami RMI et les interdits de CB. |
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c. Je suis dynamique même sans drogue. |
4. C’est le BA Ba de savoir d’où l’on vient. |
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d. J’ai créé un disque et j’en suis fier. |
5. Pas besoin d’EPO, j’ai de l’énergie. |
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e. Je n’ai pas besoin d’être riche ni puissant. |
6. J’ai pas besoin du triple A |
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f. J’ai aussi été pauvre. |
7. J’écris ma BO |
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g. Je décide quelle musique remplit ma vie. |
Lyrics Initiales d.c, voici mon b.b Je donne la vie sur c.d, ce n'est pas un avis de d.c Je n'ai pas c.d non, loin de moi l'i.d Je grave en lettres capitales mon tout nouvel é.c Pas le dernier, je ne v pas c.c L'être est capital pour moi, je ne suis pas a.t La musique est ma d.s, ma seule tasse de t Tu peux dire Adieu à mon cv G connu les c.d.i et les c.d.d Interim et mi-temps et les contrats é.d Puis l'ami r.m.i et les interdits de c.b Je ne suis pas intermittent mais g.c Y'a pas de statut r.i.g pour moi Pour e je suis un k Mais comme un i je reste droit Je ne vais pas b.c les bras Oui g le statut de la liberté J'o.bi à mes i.d.o le poing levé La flamme dans les yeux, je c où je v J'a.j et vis ma vie sans l'het J'm.e mon p.i et je viens du b.a.b C le b.a.ba de savoir d'où l'on vient pour s' l.e.v Je suis d'ici et d'ailleurs, j'm.e me k.c Pas besoin d'e.p.o, g de l'n.r.j pour m'a.j.t Et de quoi m'n.r.v devant la t.v A croire que l'homme est s.m quand on regarde le j.t Qu'avons nous fait de nos q.i pour autant s'a.b.c Sans être a.g, g du v.q pour ne pas v.g.t A.c il faut que je m'a.r, DJ passe nous un bon l.p Je préfère le dub de Lee Perry au lipdub de l'UMP Et comme dirait Marley alias BMW Je ne bosse pour la CIA Ni pour le FMI comme DSK A chacun sa BA Je n'ai pas besoin du triple A Pour avoir un sourire b.a Oui g le statut de la liberté J'o.b.i à mes i.d.o le poing levé La flamme dans les yeux, je c où je v J'a.j et vis ma vie sans l'h.e.t D que me vient un r je me jette à l'o Je ré-a.j h.o Je ne suis pas du genre à me foutre en l'r d que je prends l'o J'écris ma BO J'm croquer la vie comme un bout de k.k.o Toujours OK, jamais KO Je ne suis qu'un homme pas un super r.o G.c de me i.c vers le o Oui g le statut de la liberté J'o.b.i à mes i.d.o le poing levé La flamme dans les yeux, je c où je v J'a.j et vis ma vie sans l'h.e.t Oui g le statut de la liberté J'o.b.i à mes i.d.o le poing levé La flamme dans les yeux, je c où je v J'a.j et vis ma vie sans l'h.e.t
Chanson Zaz SI
https://www.youtube.com/watch?v=ilwtjDYLcRc
texte
Si j'étais l'amie du bon Dieu
Si je connaissais les prières
Si
j'avais le sang bleu
Le don d'effacer et tout refaire
Si
j'étais reine ou magicienne
Princesse, fée, grand
capitaine
D'un noble régiment
Si j'avais les pas d'un
géant
Je mettrais du ciel en misère
Toutes les larmes en rivière
Et
fleurirais des sables où filent même l'espoir
Je sèmerais des
utopies, plier serait interdit
On ne détournerait plus les
regards
Si j'avais des milles et des cents
Le talent, la force ou les
charmes
Des maîtres, des puissants
Si j'avais les clés de
leurs âmes
Si je savais prendre les armes
Au feu d'une
armée de titans
J'allumerais des flammes
Dans les rêves
éteints des enfants
Je mettrais des couleurs aux
peines
J'inventerais des Éden
Aux pas de chances, aux pas
d'étoiles, aux moins que rien
Mais je n'ai qu'un cœur en guenille
Et deux mains tendues de
brindilles
Une voix que le vent chasse au matin
Mais si nos
mains nues se rassemblent
Nos millions de cœurs ensembles
Si
nos voix s'unissaient
Quels hivers y résisteraient?
Un monde fort, une terre âme sœur
Nous bâtirons dans ces
cendres
Peu à peu, miette à miette
Goutte à goutte et
cœur à cœur
Peu à peu, miette à miette
Goutte à
goutte et cœur à cœur
Vocabulaire
1Avoir le sang bleu :
cette expression évoque une origine noble.
2Une utopie :
une société idéale, parfaite, malheureusement imaginaire.
3Plier :
ici, faiblir, céder.
4Avoir des mille et des cents :
être très riche.
5Un titan :
un personnage mythologique caractéristique par sa taille et sa force, qui dépassent
celles de l'homme.
6Un Éden :
un paradis. Dans la Bible, c’était là que vivaient Adam et Eve, avant leur déchéance.
7Des moins que rien :
des personnes en dessous du niveau habituel, qui ne valent rien
socialement.
8En guenille :
usé, déchiré.
9Des brindilles :
Branche courte, très fine et légère. Ici, évoque la fragilité.
Selon vous, parmi ces personnages, lequel est le plus capable de changer le
monde ?
Pour faire quoi ?
Listez ce que vous aimeriez changer dans le monde actuel.
D’après ce clip, et selon vous, quel est le sentiment principal exprimé dans cette chanson :
l’amour – la passion – l’espoir – la colère – l’engagement – la révolte… Justifiez votre position.
Au cœur de l’action
À deux.
Selon vous, qui a le plus de pouvoir : les gouvernements et les grandes puissances ou bien le
peuple, les individus ?
De quelle manière ces personnes peuvent-elles changer les choses : grâce à la force, grâce à la
révolte, à l’écologie, à la solidarité, à l’alliance, au rassemblement, etc. ?
Quels changements seront les plus durables, les mieux compris, les plus pratiques, etc. ?
Appuyez-vous sur des exemples pour donner votre opinion.
Selon les connaissances des apprenants leur demander de faire des hypothèses et d’utiliser la
construction si + imparfait conditionnel présent.
Former quatre groupes de travail dans la classe. Demander à chaque groupe de lister 4 exemples de
possibilités de changer le monde : type de personnes et manière de s’y prendre / type d’action(s) à
mener, dans quel but.